[Choucatun]

Je pense que certain ont comme moi, pu lire l aticle sur le gym paru dans libé ce matin. Je cite "Sans l'Olympique Gymnase Club (OGC), se demandent les supporters niçois, que serait leur ville? La même, ni plus ni moins." Je vous epargne les details qui m ont mis les larmes aux yeux . C est comme ca sur pres d une demi page.Alors qu a chaque match on demontre un peu plus notre ferveur, des gens continu a vouloir nous enfoncer. Y en a marre de tout c cretins perché dans leur capitale de merde qui dois-je le rappeler, a un palmares bien inferieur au notre !
SIEU NISSA PER TOUJOU!!!!!!!

[peps]

Il y a des gens comme ça qui ne savent que critiquer. A croire qu'on fait peur à ces bourgeois à la plume acérée. Nice c'est l'Ogcnice et ça personne ne peut en douter sauf les journalistes incultes de ces journaux qui cherchent un sujet original. Les atentats aux USA et la guerre en Afghanistan ne leur suffisent plus. Laissez l'Ogym tranquille, on en reparlera à la fin de la saison, pour le moment on est 5ieme de D2 et c'est pas si mal, en attendant des jours que je sais meilleurs et notre future montée en D1. De toute façon qu'on monte ou qu'on reste en D2 un grand club comme l'Ogym se fera toujours critiquer et il y aura toujours des journalistes cannois pour descendre les "Rouge et Noir", et nous on sera toujours là pour les supporter, les encourager quelque soit la division tant qu'on voit des matchs de niveau élevé comme Nice- Strasbourg. Nice sans l'Ogcnice, c'est comme un apéro sans ricard, sans socca et autres pan bagnat, une vie sans saveur ni rebondissement, une ville comme les autres ! et ce serait dommage !!!!!!
Bonne fêtes à toutes et à tous supporters de Nice ou non et à l'année prochaine pour d'autres "combats" au Ray !

[Xaviar]

Voilà ce fameux article
Je vous laisse seuls juge de son contenu


A NICE, LA MAIRIE A FINI PAR CASSER SON JOUJOU

Par Alain LEAUTHIER

Le mercredi 26 décembre 2001

Sans l'OM, dit-on, Marseille est orphelin.» Sans l'Olympique Gymnase Club (OGC), se demandent les supporters niçois, que serait leur ville? La même, ni plus ni moins. Voilà un bail que la formation au maillot rouge et noir, fondée en 1904, n'imprime plus guère sa marque sur l'émolliente cité que Jacques Médecin rêvait de transformer en Las Vegas méditerranéen. Racheté en décembre 1998 par l'homme d'affaires italien Francesco Sensi, patron de l'AS Roma (lire ci-dessous), l'OGC Nice est à vendre depuis le 10 décembre, date à laquelle a expiré une clause donnant priorité à l'ancien propriétaire, l'Américain Milan Mandaric, en cas de liquidation du club.

Passif. Après des années de hauts (quatre titres de champion, trois fois vainqueur de la Coupe de France), mais surtout de bas, l'OGC ­ actuellement 5e de D2 ­ est à bout de souffle. En trois ans, Sensi aurait perdu près de 150 millions de francs (près de 23 millions d'euros) et ne veut pas remettre au pot. Il lui reste 6 millions de francs (915 000 euros) à verser au titre de la garantie bancaire due à la direction nationale du contrôle de gestion (DNCG) de la Fédération française de football. Après, faute d'acquéreur, un dépôt de bilan est possible.

Actuellement, Sensi négocie la reprise du club ­ et d'une partie d'un passif estimé à plus de 6 millions d'euros. Candidats: le Franco-Polonais Waldemar Kita, ex-patron du Lausanne Sports; mais aussi un trio composé de l'industriel niçois André Boïs, ex-président de l'OGC, de Luc Dayan, vice-président de Lille, et de son copain Charles Biétry, ex-patron du service sportif de France 2. Selon leurs projet, Boïs deviendrait président du club, dont les actions seraient réunies dans une société distincte, Occigen. Outre des groupes japonais et anglais et un équipementier, peut-être Adidas, Occigen comprendra aussi les Brésiliens Rai et Leonardo, motivés par le centre de formation, destiné à de jeunes joueurs des deux continents. André Boïs considère ce dernier point comme une condition sine qua non de leur venue.

Or, comme à Nîmes ou à Cannes, ledit centre et la section amateur sont actuellement dirigés par l'association sportive OGC Nice, peu disposée à céder la place. Ange Ferraci, son président depuis mai 1999 et membre influent de l'OGC depuis longtemps, se justifie: «Une quinzaine de jeunes issus de notre centre ont rejoint l'équipe professionnelle cette année. Nous avons créé l'école technique privée les Aiglons, où nous mettons l'accent sur le sens de l'éthique. Il faut conserver une cohérence à la formation, et l'équipe que nous menons en est garante. En outre, l'association représente les Niçois, ce qui n'est pas négligeable pour un club dont l'identité est très liée à la ville. Veut-on remettre tout cela en cause?»

Pratiques claniques. Actionnaire minoritaire du club, avec 8,48 % des parts de la Société anonyme sportive professionnelle (Sasp) constituée en 1996, l'association fait de la résistance au centre de formation, invoquant une sorte de légitimité territoriale, au grand dam de Jacques Peyrat, le maire RPR ex-FN. «Dans cette affaire, affirme son adjoint aux sports, Bernard Orengo, certains ne jouent pas le jeu, mais leur intérêt.» Un intérêt qui n'a pourtant pas été toujours antinomique avec celui de la municipalité. En 1998, Ange Ferraci ­ pas encore président de l'association sportive ­ jouera les intermédiaires auprès de Sensi pour le convaincre de venir à Nice. Par la suite, avec les mauvais résultats, Peyrat ne se montrera guère reconnaissant envers l'Italien et multipliera les déclarations maladroites à son encontre.

Problème: bien qu'il ne connaisse strictement rien au football, Peyrat s'est cru obligé d'intervenir dans le dossier. Comme ses prédécesseurs. Comme surtout Jacques Médecin, dont l'ombre et les pratiques claniques planent encore. Le défunt monarque du minuscule comté niçois aimait le pouvoir, l'huile d'olive, les femmes. Et le foot. Un classique sudiste. Par passion autant que par intérêt politique, il entendait maintenir un grand club de D1 dans sa ville. Il mêlait, dans cette grande salade niçoise, salariés du club, agents électoraux, copains et coquins. Quand, menacé par les affaires, Médecin s'est enfui en Amérique du Sud, en 1990, le club dirigé par un de ses affidés, Mario Innocentini, s'est retrouvé avec presque 50 millions de francs de passif (7,6 millions d'euros). Une première fois acquéreur devant les tribunaux, André Boïs sauve les meubles pendant quelques années. Mais, en 1996, quand le club passe en société anonyme à objet sportif, la mairie, entre les mains de l'équipe Peyrat, le pousse vers la porte. «Ils ont cru que j'allais faire du business et peut-être y gagner une aura», dit l'intéressé, qui apparaît de nouveau aujourd'hui comme le sauveur potentiel.

Larges dépenses. A l'époque, c'est Gilbert Stellardo, le premier adjoint, qui force la décision. Peyrat avalise. On évoque l'arrivée d'un certain Petrovic, un marchand d'armes installé à Marbella. Ce sera l'Américain d'origine yougoslave Milan Mandaric. Depuis, malgré la Coupe de France en 1997, le club navigue à vue. Malgré ses millions, Sensi, trop absent, n'a pas su réformer la maison. Son premier président, Primo Salvi, a semé à tous vents et a semblé confondre le métier d'agent de joueurs et de dirigeant. La suite est une longue liste de conflits entre Niçois et non-Niçois, une valse de présidents, d'entraîneurs et de techniciens que les interventions de la mairie, elle-même divisée en plusieurs groupes rivaux, n'ont guère arrangés.

«Au lieu de faire confiance uniquement à des professionnels, le club a été instrumentalisé par les clans qui se partagent cette ville depuis des années», affirme Roger Ricort, ex-patron de la formation, aujourd'hui au chômage. Pas tendre pour Ricort, qu'il accuse d'avoir été lui aussi manipulé par la mairie, Christian Damiano, entraîneur de l'OGC pendant quelques mois, et aujourd'hui adjoint de Tigana à Fulham, regrette pareillement «que les professionnels n'aient pas eu tout le pouvoir». Le contraire est-il encore possible? Pas sûr. Elu de justesse au printemps, Peyrat a urgemment besoin de «dossiers positifs», et la ville entend dépenser 400 millions de francs (61 millions d'euros) pour la mise aux normes du stade du Ray, totalement désuet. En cas de reprise, André Boïs dit n'avoir aucune ambition politique pour lui-même. Aux dernières élections, il est vrai, il soutenait Jacques Peyrat.


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[peps]

Déjà lorsqu'il parle de lOgym, il m'a énervé mais là c'est la phrase de trop : juste une phrase parmis d'autres :
" Comme ses prédécesseurs. Comme surtout Jacques Médecin, dont l'ombre et les pratiques claniques planent encore. Le défunt monarque du minuscule comté niçois aimait le pouvoir, l'huile d'olive, les femmes. Et le foot. Un classique sudiste. "
J'adore ce un classique sudiste : comme si on pouvait reduire un habitant du Sud en ces termes !
Ce journaliste enfin cette personne n'a jamais du voir la mer ou le soleil briller.
Encore un frustré qui nous en veut seulement parce qu'on peut profiter de la vie nous au moins !! A croire que le Sudiste n'a pas de cerveau !!! On se croirait en Amérique ou les sudistes et nordistes se battaient. Quel connard (pardon mais il fallait !) !
Aprés il n'a pas tort, c'est vrai qu'il y a eu, qu'il y a et qu'il y aura des gens à Nice pour magouiller. Mais faut pas croire, c'est comme partout ! Qu'il se penche un peu sur les autres clubs et il verra que Nice c'est un petit club "magouille" par rapport à certains.
à bon entendeur !

[Eiffel]

C'est vrai, il y a quelques maladresses dans les propos, que vous avez noté, mais le fond de l'article me semble correct.

On n'a jamais voulu faire confiance aux professionnels pour s'occuper de ce club.
Je me rappelle quand Jean Snella a été recruté comme entraîneur....il est resté 6 mois.
Jean Snella, un pro, un seigneur: c'était le Wenger de cette époque.

Quant à Jackou, faut pas oublier que s'il tenait au gym, c'est pour l'aura que le club pouvait apporter à cette ville tournée vers le tourisme, mais aussi parce que les caisses du club se mélangeaient joyeusement avec la caisse électorale des années d'élections.
C'est pas un reproche, les autres maires ont agit de même d'une manière ou d'une autre.

Pourquoi croyez vous que Gaston Deferre ait fait venir Tapie à Marseille?
L'OM en D2, les caisses du Provencal allaient très mal à ce moment là.
Tapie vient. On met des sous (avec la caisse du crédit Lyonnais, c'est plus facile!) on recrute des vedettes à tour de bras et l'OM redémarre.
Tous les jours sur le Provencal, il y avait une page entière sur l'OM.
Avez-vous déjà lu le Provencal?
Il n'y avait rien à lire dans ce canard à part: les chiens écrasés, les courses (Borely, Pont de Vivaux, faut bien recycler l'argent sale) et... la page de l'OM.
Même quand il ne se passait rien, il y avait une page. Je me souviens qu'un jour, le journaliste l'a même écrit:""...je suis devant ma page blanche et je dois écrire un article sur l'OM...."
Et tous les marseillais et provencaux ont racheté ce canard pour avoir des nouvelles et des galéjades vraies ou fausses de leur club favori.
Gaston était content, les affaires ont repris.
Depuis le Provencal et le Méridional ont fusionné pour donner la Provence.

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Le supporter doit:
1°)encourager son équipe !
2°)encourager son équipe quand elle perd!
3°)respecter l'adversaire!
Allez Nice!

[Pan bagnat]

C'est un scandale ! (avec l'accent à george marchais svp!)
Qu'un journaliste donne son avis sur la gestion d'un club, de plus très mauvais depuis + de 20 ans : ok
Par contre qu'un journaliste insulte les habitants d'une ville où il fait bon vivre et où fait beau les 3/4 de l'année, moi je lui dit Merde pour rester poli : on n'a rien demandé au soleil !
S'il fait mauvais 300 jours par an dans sa region de merde, c'est quand meme pas la faute des 'sudistes' !!! Comme si ici, on baisait toute la journée en mangeant des olives et des cacahuètes !!!! Pour la baise c'est pas faux, mais les olives et les cacahuètes.... quand meme de qui on se moque !!!!
En fait, ils sont jaloux !
C'est tout !

Il faut leur rapeller quand meme que le gym c'est 4 titres de champions, 3 coupes de france et presque 100 ans d'une vie bien mouvementée !
Mais la bas, il ne peuvent pas comprendre !Ils n'ont plus de club de foot : le Racing paris a disparu il y a bien longtemps et le red star egalement : c'était les 2 seuls vrais clubs de la capitale ! Maintenant, ils ont le Péèssegé ! Une formidable machine à fric qui a brassé plus de 5 milliards en 10 ans, pour un résultat proche du neant !
En 25 ans, (c'est son age) le PSG a été 5000 fois plus malade que notre bon vieux Gym !
Alors je leur dit merde à ces porcs de luteciens ! Ils sont jaloux d'un club qui a une histoire, un vaicu, un palmarès, des supporters... Alors que chez eux, la bas, ils ont des hooligans, des pingoins et des bresiliens à gogo recrutés sur une plage et qui font le bois de boulogne la nuit pour arrondir leur fin de mois !
ISSA NISSA

[Eiffel]

Si tu lis bien, il ne s'en prend pas aux niçois quand il parle des femmes et de l'huile d'olive, mais à Jackou!
Ce que tu as dit sur le Racing, le Red Star et j'ajoute le Stade Français, reste vrai.
Ces clubs ont disparus parce qu'il n'avait pas de centre de formation et n'ont pas su faire cette transition dans les années 70-80 comme le Stade de Reims d'ailleurs.
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Le supporter doit:
1°)encourager son équipe !
2°)encourager son équipe quand elle perd!
3°)respecter l'adversaire!
Allez Nice!

[Invité]

Je n'avais pas lu l'article de Libération. Il contient quelques clichés agaçants, mais sur le fond il ne fait que répercuter ce que beaucoup ici pensent de la gestion de ce club depuis au moins vingt ans. D'ailleurs, le résultat est là.
Qui pourrait nier que le Gym est aussi un enjeu politique, et que c'est en partie de là que viennent ses ennuis ?
Le seul dirigeant à avoir eu un projet semble-t-il sérieux et niçois, était A. Boïs; l'article rappelle à juste titre comment il a été débarqué.
Quant à l'intérêt que suscite l'OGC Nice parmi les Niçois, malheureusement, qui peut nier que c'est l'indifférence qui domine. Et on comprend pourquoi.

[gnocchi]

oui j'avoue j'aime les parisiens autant que les new-yorkais aime benladen!!! mais je reste lucide et il faut savoir accepter certaine critiques! car l'amour rends aveugle et seulement un regard exterieur peut nous aider a comprendre que a nice, sport,magouille,et politique font bon menage...helas! et puis moi aussi j'aime les femmes,l'huile d'olive..etc alors je m'en offusque pas trop!...issa nissa et merci au club joueurs,coach,et meme dirigeant pour les bons resultats actuel...auront-il enfin que seulement la stabilité peut faire un bon club! bonne année a tous!!!