L'OGC Nice plus proche de la zone de relégation que du top 5... Le terrible constat d'une équipe qui dégringole au classement de Ligue1
Battus par Bordeaux (0-3) dimanche, l'OGC Nice n’en finit plus de dégringoler dans le classement de Ligue1.
Jusqu’ici tout va mal. L'OGC Nice sombre. Manque juste un pianiste jouant un air triste à mourir pour accompagner la chute. C’est désespérant.
Comme le match face à Bordeaux (0-3). Une désillusion de plus qu’on a vu venir de loin quand les joueurs niçois, eux, ne voient plus grand-chose mis à part leurs chaussures.
D’habitude, on ne tire pas sur les ambulances. Cette fois, on va se faire violence. Ce n’est pas de gaîté de cœur, mais le Gym l’a bien cherché.
Cette équipe ne ressemble plus à rien. D’ailleurs, est-ce encore une équipe? Elle n’a pas de sang, pas d’âme, pas de cœur, pas de corps. Rien. C’est une flaque sur laquelle marchent ou dansent des adversaires éberlués. Sur le terrain, les joueurs ne se parlent plus. Ils ne s’encouragent plus.
Ils ne se défendent plus. Ils se regardent. La crainte qui maquille leurs yeux ne dit rien de bon.
Pire: ils ne semblent plus liés, reliés par un but, une ambition commune.
LE CONSTAT
Il est terrible. Nice, 14e, est plus proche de la zone de relégation que du top 5. Le onze de Vieira lambinait, celui d’Ursea se traîne. Depuis le changement de coach, l’OGCN a pris 6 points sur 24 possibles.
On a vu des équipes malades ou condamnées aller plus vite. Les matchs se suivent et se ressemblent.
La défaite de dimanche peut résumer le mal-être niçois.
A l’arrivée, une valise et zéro carton. Peut-être suivons-nous les joueurs les plus polis du championnat? Personne ne leur demande d’agresser leurs adversaires dans le couloir et sur le pré, mais il y a un engagement minimum pour éviter le tarif maximum.
Le constat est là. Et la thèse de l’accident n’est plus recevable. Maintenant, la question se pose: le Gym peut-il descendre plus bas? Sans cri de révolte, la réponse est oui.
LE JEU
Quel jeu? Il est loin le temps où le Gym emballait la France du foot. Depuis le départ de Lucien Favre, on nourrit notre enthousiasme de miettes. Il y a bien quelques fulgurances. Guère plus. La défense est fragile, le milieu inconsistant et l’attaque désarmée.
Les plans de jeu restent sur le tableau du vestiaire ou s’effacent au premier contretemps.
Les adversaires, eux, sautent sur l’occasion.
Avant le rendez-vous à l’Allianz Riviera, les Girondins avaient travaillé les ballons dans le dos afin de profiter des espaces sur les côtés. On connaît la suite.
LES JOUEURS
Ils sont les premiers responsables de la situation. Si certains peuvent sortir un certificat médical pour covid (Lotomba...), double covid (Dolberg) ou retour de blessure (Atal, Boudaoui...), ils sont au mieux décevants, au pire désastreux.
Plus un seul d’entre-eux ne parvient à sortir la tête de l’eau. Même Gouiri. C’est dire. Les uns sont méconnaissables (Benitez, Atal, Kamara, Boudaoui, Dolberg...), les autres si prévisibles qu’on n’attend, hélas, plus rien d’eux (Myziane, Claude-Maurice...).
La grave blessure de Dante a révélé la faiblesse des défenseurs et le manque de leaders capables de taper sur la table.
Seule bonne nouvelle: l’arrivée de Saliba qui n’a pas encore rejoint les siens dans la nasse.
LES DIRIGEANTS
Ils ont fait une erreur. Ils ont viré Patrick Vieira trop tôt ou trop tard. Le faire début décembre a, semble-t-il, déséquilibré un peu plus un groupe déjà boiteux. Pour le reste, le temps du bilan n’est pas venu. On entend la petite musique qui éreinte le duo Rivère-Fournier.
Elle vient d’un orchestre oublieux du passé chaotique, des années de braise et des rétrogradations cauchemardesques. Les mêmes sûrement qui vantaient le mercato d’été avant la débâcle.
Oui, le président et son directeur du football se sont trompés sur certains choix. Ils le savent. Ils assument. Ils se sont montrés moins éclairés, moins inspirés. Ça arrive.
Aujourd’hui, ils sont en quête de leur futur entraîneur.
A ce sujet, il serait opportun que l’équipe se reprenne afin de ne pas effrayer certains candidats potentiels.
La 17e place se vend mal auprès des ambitieux.
LE CLUB
Il est debout quand l’équipe est par terre. Solide quand elle est faite de sable et d’illusions perdues. INEOS est un atout, une force, une espérance. Dans le marasme actuel (Covid, stades vides, droits télés bafoués, résultats sportifs affligeants), le Gym a une chance inouïe: son actionnaire.
Grâce à lui, l’horizon est dégagé. L’équipe a beau avoir les crampons dans la bouse, elle peut regarder au loin. Les tempêtes n’ont pas l’air d’affoler les frères Ratcliffe.
LES SOLUTIONS
Elles existent. Le Gym manque de confiance, pas de talents. Il y a de vrais joueurs de foot dans cette équipe. En six mois, elle n’a pas pu devenir la pire du championnat. Bref, tout n’est pas à jeter. Sauf la saison... Et encore, elle n’est pas finie.
Les dirigeants ont conscience des choses, le staff est solidaire et l’effectif n’est pas une colonie de vacances. Il n’est pas, comme il se dit, composé de jeunes désœuvrés. Benitez n’est pas un tendron.
Atal n’est plus un teenager. Kamara, Lees Melou, Schneiderlin, Reine Adelaïde, Rony Lopes ou Dolberg ne sont pas des enfants découvrant le monde et la Ligue 1. Ils font le plus beau métier du monde dans un endroit merveilleux.
Merci pour le partage, il en faudrait comme ça tous les jours jusqu'à la fin de la saison et il faudrait qu'il soit affiché dans les vestiaires et peut être que...
L'OGC Nice plus proche de la zone de relégation que du top 5... Le terrible constat d'une équipe qui dégringole au classement de Ligue1
Battus par Bordeaux (0-3) dimanche, l'OGC Nice n’en finit plus de dégringoler dans le classement de Ligue1.
Jusqu’ici tout va mal. L'OGC Nice sombre. Manque juste un pianiste jouant un air triste à mourir pour accompagner la chute. C’est désespérant.
Comme le match face à Bordeaux (0-3). Une désillusion de plus qu’on a vu venir de loin quand les joueurs niçois, eux, ne voient plus grand-chose mis à part leurs chaussures.
D’habitude, on ne tire pas sur les ambulances. Cette fois, on va se faire violence. Ce n’est pas de gaîté de cœur, mais le Gym l’a bien cherché.
Cette équipe ne ressemble plus à rien. D’ailleurs, est-ce encore une équipe? Elle n’a pas de sang, pas d’âme, pas de cœur, pas de corps. Rien. C’est une flaque sur laquelle marchent ou dansent des adversaires éberlués. Sur le terrain, les joueurs ne se parlent plus. Ils ne s’encouragent plus.
Ils ne se défendent plus. Ils se regardent. La crainte qui maquille leurs yeux ne dit rien de bon.
Pire: ils ne semblent plus liés, reliés par un but, une ambition commune.
LE CONSTAT
Il est terrible. Nice, 14e, est plus proche de la zone de relégation que du top 5. Le onze de Vieira lambinait, celui d’Ursea se traîne. Depuis le changement de coach, l’OGCN a pris 6 points sur 24 possibles.
On a vu des équipes malades ou condamnées aller plus vite. Les matchs se suivent et se ressemblent.
La défaite de dimanche peut résumer le mal-être niçois.
A l’arrivée, une valise et zéro carton. Peut-être suivons-nous les joueurs les plus polis du championnat? Personne ne leur demande d’agresser leurs adversaires dans le couloir et sur le pré, mais il y a un engagement minimum pour éviter le tarif maximum.
Le constat est là. Et la thèse de l’accident n’est plus recevable. Maintenant, la question se pose: le Gym peut-il descendre plus bas? Sans cri de révolte, la réponse est oui.
LE JEU
Quel jeu? Il est loin le temps où le Gym emballait la France du foot. Depuis le départ de Lucien Favre, on nourrit notre enthousiasme de miettes. Il y a bien quelques fulgurances. Guère plus. La défense est fragile, le milieu inconsistant et l’attaque désarmée.
Les plans de jeu restent sur le tableau du vestiaire ou s’effacent au premier contretemps.
Les adversaires, eux, sautent sur l’occasion.
Avant le rendez-vous à l’Allianz Riviera, les Girondins avaient travaillé les ballons dans le dos afin de profiter des espaces sur les côtés. On connaît la suite.
LES JOUEURS
Ils sont les premiers responsables de la situation. Si certains peuvent sortir un certificat médical pour covid (Lotomba...), double covid (Dolberg) ou retour de blessure (Atal, Boudaoui...), ils sont au mieux décevants, au pire désastreux.
Plus un seul d’entre-eux ne parvient à sortir la tête de l’eau. Même Gouiri. C’est dire. Les uns sont méconnaissables (Benitez, Atal, Kamara, Boudaoui, Dolberg...), les autres si prévisibles qu’on n’attend, hélas, plus rien d’eux (Myziane, Claude-Maurice...).
La grave blessure de Dante a révélé la faiblesse des défenseurs et le manque de leaders capables de taper sur la table.
Seule bonne nouvelle: l’arrivée de Saliba qui n’a pas encore rejoint les siens dans la nasse.
LES DIRIGEANTS
Ils ont fait une erreur. Ils ont viré Patrick Vieira trop tôt ou trop tard. Le faire début décembre a, semble-t-il, déséquilibré un peu plus un groupe déjà boiteux. Pour le reste, le temps du bilan n’est pas venu. On entend la petite musique qui éreinte le duo Rivère-Fournier.
Elle vient d’un orchestre oublieux du passé chaotique, des années de braise et des rétrogradations cauchemardesques. Les mêmes sûrement qui vantaient le mercato d’été avant la débâcle.
Oui, le président et son directeur du football se sont trompés sur certains choix. Ils le savent. Ils assument. Ils se sont montrés moins éclairés, moins inspirés. Ça arrive.
Aujourd’hui, ils sont en quête de leur futur entraîneur.
A ce sujet, il serait opportun que l’équipe se reprenne afin de ne pas effrayer certains candidats potentiels.
La 17e place se vend mal auprès des ambitieux.
LE CLUB
Il est debout quand l’équipe est par terre. Solide quand elle est faite de sable et d’illusions perdues. INEOS est un atout, une force, une espérance. Dans le marasme actuel (Covid, stades vides, droits télés bafoués, résultats sportifs affligeants), le Gym a une chance inouïe: son actionnaire.
Grâce à lui, l’horizon est dégagé. L’équipe a beau avoir les crampons dans la bouse, elle peut regarder au loin. Les tempêtes n’ont pas l’air d’affoler les frères Ratcliffe.
LES SOLUTIONS
Elles existent. Le Gym manque de confiance, pas de talents. Il y a de vrais joueurs de foot dans cette équipe. En six mois, elle n’a pas pu devenir la pire du championnat. Bref, tout n’est pas à jeter. Sauf la saison... Et encore, elle n’est pas finie.
Les dirigeants ont conscience des choses, le staff est solidaire et l’effectif n’est pas une colonie de vacances. Il n’est pas, comme il se dit, composé de jeunes désœuvrés. Benitez n’est pas un tendron.
Atal n’est plus un teenager. Kamara, Lees Melou, Schneiderlin, Reine Adelaïde, Rony Lopes ou Dolberg ne sont pas des enfants découvrant le monde et la Ligue 1. Ils font le plus beau métier du monde dans un endroit merveilleux.
Y a pire.
Maintenant, c’est à eux de jouer.
Tellement bien resumé.
oui notre chance, avoir un actionnaire qui à de l'argent.
Nous serons le club de ligue 2 le plus riche ............
car ce n'est pas la 17 ieme place que nous visons mais la 19 ou la 20 ieme _________________ nice champion !!!!!
Tout le monde fait le meme constat, sauf à priori les principaux responsables.
On peut remettre l'équipe à l'endroit, la solution, un vrai chef à la tete de l'équipe, pas un benet.
Changer de systéme, virer les impotents et inutiles et faire une équipe commando, un groupe de joueurs volontaires et reserrer les liens.
Et si certains jeunes joueurs n'acceptent pas l'autorité, il faut les blacklister, et tant pis si leur valeur sur le marché chute.
Il faut donner un grand coup de balai.
-Cet article ,répond clairement a toutes nos interrogations ,mais sera t'il entendu CLAIR et NET ,ou HAUT et FORT ,par les instances du GYM .Je le souhaite vivement car l'avenir du club ,commence par une très grande remise en question ...de toutes et de tous ....
Tout le monde fait le meme constat, sauf à priori les principaux responsables.
On peut remettre l'équipe à l'endroit, la solution, un vrai chef à la tete de l'équipe, pas un benet.
Changer de systéme, virer les impotents et inutiles et faire une équipe commando, un groupe de joueurs volontaires et reserrer les liens.
Et si certains jeunes joueurs n'acceptent pas l'autorité, il faut les blacklister, et tant pis si leur valeur sur le marché chute.
Il faut donner un grand coup de balai.
il y a une autre question à se poser dans l'optique ou on joue le maintien et je l'ai entendue sur le podcast de RCN hier :
- Si on doit se mettre en mode commando pour ne pas descendre, quels sont les joueurs capables de se sortir les tripes ?
Réponse : Hormis, Milou, Benitez et Gouiri je ne vois personne.
Et si le maintien se joue autour des 36 / 38 points, on a fortement intérêt à gagner face à toutes les équipes qui sont entre la 15 ème et la 20 ème place. La situation est beaucoup plus périlleuse que nos dirigeants veulent nous le faire croire. _________________ http://www.ogcnissa.com/effectif/photos/GuillouJean-marc/GuillouJean-marc.jpg
Aucun joueur dans cet effectif n'a l'âme d'un guerrier.
A partir de là tu sais qu'à la moindre difficulté c'est terminé y'en a pas un qui va soutenir le copain en galère, on va couler lentement mais surement je trouve le constat de nice menteur sur le club extrêmement ambitieux un club debout en période de mercato quand il voit ce marasme ambulant il REAGIT! Souvenez vous des princesses il y a quelques saisons aux portes de la relégation les dirigeants ont répondu présent au mercato d'hiver et ils finissent presque européens.
Nous ils font quoi ? Ils prennent un énième jeune en pret (aka il n'en a absolument rien a foutre du club il sait que dans 6 mois il repart tranquille).
Bref pour moi c'est fini je n'y crois plus une seconde le projet ineos est exactement le même que celui des chinois et il nous mène exactement au même endroit : en ligue 2.
J'enverrai les joueurs en stage commando a l'armée, comme le font certaines équipes de rugby, ça leur remettrait les c.ouilles dans la culotte et ça leur apprendrait la notion d'esprit de groupe!
Sur notre site il y a l'élection du joueur du mois. Perso, ça fait quelques temps que je ne vote plus car je ne vois plus pour qui voter. Ne pourrions nous pas remplacer cette élection par " LE JOUEUR LE PLUS MAUVAIS DU MOIS"?
Dans la situation actuelle ça en mettrait certain en avant!
Moi je maintient que le changement d’entraîneur sera déjà un grand pas et en avoir un qui n’a pas peur de dire les choses et qui soit a 100 % avec les anglais, c’était une immense erreur d’avoir gardé Vieira qui était en bizbiz avec les chinois, l’ambiance délétère qui règne au club, c’est cette putain d’embrouille entre le duo et PV qui a perduré depuis presque 3 ans. Ils auront beau dire, ils ne s’entendaient pas et ça a ruiné la confiance de tout le monde.
C’est une explication comme une autre, sans compter les fameux bon coups de Fournier ... les joueurs sont encore très jeunes et y a pas un seul meneur d’homme dans tout le staff qui puissent les faire évoluer tactiquement, mentalement et humainement. INEOS va devoir faire un grand ménage et prendre une décision radicale parce que virer Vieira c’est une chose, Rivere disant que c’était pas la bonne direction mais il va falloir qu’eux aussi prennent la bonne route et vite parce que je ne crois plus en eux, plus personne d’ailleurs.
Moi je maintient que le changement d’entraîneur sera déjà un grand pas et en avoir un qui n’a pas peur de dire les choses et qui soit a 100 % avec les anglais, c’était une immense erreur d’avoir gardé Vieira qui était en bizbiz avec les chinois, l’ambiance délétère qui règne au club, c’est cette putain d’embrouille entre le duo et PV qui a perduré depuis presque 3 ans. Ils auront beau dire, ils ne s’entendaient pas et ça a ruiné la confiance de tout le monde.
C’est une explication comme une autre, sans compter les fameux bon coups de Fournier ... les joueurs sont encore très jeunes et y a pas un seul meneur d’homme dans tout le staff qui puissent les faire évoluer tactiquement, mentalement et humainement. INEOS va devoir faire un grand ménage et prendre une décision radicale parce que virer Vieira c’est une chose, Rivere disant que c’était pas la bonne direction mais il va falloir qu’eux aussi prennent la bonne route et vite parce que je ne crois plus en eux, plus personne d’ailleurs.
Sur notre site il y a l'élection du joueur du mois. Perso, ça fait quelques temps que je ne vote plus car je ne vois plus pour qui voter. Ne pourrions nous pas remplacer cette élection par " LE JOUEUR LE PLUS MAUVAIS DU MOIS"?
Dans la situation actuelle ça en mettrait certain en avant!
Merci pour l'article !!!
Parfait cet article ! Je n'aurais pas mieux dit !
En espérant que cette goutte d'eau fasse bouger quelque chose !
La ce n'est plus possible de voir cette équipe se trainer à ce point !
Il n'y a aucune vitesse dans notre jeu ! C'est tellement lent que toutes les équipes adverses sont replacées confortablement en défense lorsque l'on attaque !
Quelle misère !!!!
-Cet article ,répond clairement a toutes nos interrogations ,mais sera t'il entendu CLAIR et NET ,ou HAUT et FORT ,par les instances du GYM .Je le souhaite vivement car l'avenir du club ,commence par une très grande remise en question ...de toutes et de tous ....
Et encore , je trouve cet article bien policé , même s'il rappelle la situation avec exactitude , le ton y est quand même pas très violent !!
Ca mériterait bien plus de véhémence pour ma part
Y'a aussi un billet de RIOLO qui lui , nous allume bien comme il faut , et y'a rien à dire .... _________________ Still Alive and in Our Heart
Sur notre site il y a l'élection du joueur du mois. Perso, ça fait quelques temps que je ne vote plus car je ne vois plus pour qui voter. Ne pourrions nous pas remplacer cette élection par " LE JOUEUR LE PLUS MAUVAIS DU MOIS"?
Dans la situation actuelle ça en mettrait certain en avant!
- Celui-là en claquettes ???
- Non allo quoi !!!
AH OUIAIS !!!! QUAND MÊME !!!
On est au BOUT du BOUT là , à ce niveau , à part l'euthanasie pour qu'ils ne souffrent plus , je ne vois pas
Sainte RITA svp AMEN _________________ Still Alive and in Our Heart
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