Steph
Dieu le Père
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Euro 2024 :
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| Aiglon a écrit: | Y a moyen d'avoir un petit résumé du match , la composition des équipes et les remplacements svp ( si vous avez aussi 100 balles un mars et un café je prend )  |
Y'a qu'à demander 
| Citation: |
Le PSG, façon réalisme
Malgré les occasions niçoises, les Parisiens ont maitrisé le sort d'une rencontre sans vraie passion
Stade du Ray, PSG bat OGC Nice 2-0 (mi-temps 1-0).
Temps pluvieux, terrain gras. 3958 spectateurs payants.
Buts pour le PSG : Mendy (28e), Dehu (53e).
PSG : Letizi, Cristobal, Dehu, Heinze, Domi, Llacer, Cissé, Bouleda, Mendy, Aloisio, Arteta.
Puis, en seconde période : Alonzo, Mendy, Dehu, Bengelloun, Ragued, Pietre, Domi, Bouleba, Ogbeche, Fiorese, Luceau.
Nice : Valencony (Munoz, 75e), Varrault (Mougeot, 45e, puis Cirilli, 75e), Pamarot, Cobos (puis Cordoba, 75e), Scotto (Camara, 45e), Pitau (Cinetti, 45e), Rodriguez, Kaba, Tamazout (Audel, 45e), Meslin, Gagnier (Cherrad, 45e).
Avec à peine 4000 fidèles ayant bravé les caprices du ciel, le Ray n'avait plus hier soir la couleur et l'odeur du brasier de joie que fut la dernière soirée de la montée.
N'empêche, bien que restreint, ce public niçois avait gardé de la voix et le fit savoir, rapidement. « Merci les gars » et « On est en D1 », balancés en chœur, nous replongèrent un peu dans les effluves du 26 avril...
Du côté des hommes de Salvioni, pour cette belle affiche avant-gardiste d'un avenir programmé en D1, il s'agissait donc de faire bonne figure face à un gros calibre. Un PSG sans Ronaldinho, Pochettino et Okocha (retenus en sélection) et logiquement pas au top de sa motivation, mais pas venu non plus sur la Côte pour se faire dévorer tout cru par le promu.
Du reste, si une volée de Poussin Meslin signifiait la première alerte (12e), la réponse des hommes de Luis Fernandez survenait par un déboulé de Mendy et une volée d'Aloisio détournée de près par Valencony.
Dans la foulée, Cissé se signalait par une vilaine faute sur Meslin, excitant le Ray qui voyait une équipe niçoise culottée, à l'image d'un débordement-centre de Tamazout sauvé par Heinze devant Gagnier.
Actif et ne dérogeant en rien à ses habitudes, avec un 4-4-2 bien haut et des latéraux en surnombre, le Gym se créait une nouvelle occasion sur une « louche » de Rodriguez un poil trop forte pour Gagnier face à Letizi.
Dehu tue le match
Côté réalisme, c'est Paris qui faisait payer l'addition : car Aloisio, lancé par Cristobal à la limite du hors jeu, était lucide pour donner à Mendy seul en retrait (0-1, 28e).
La jolie tentative de Pitau, un peu plus tard, s'envola trop, mais ce but parisien eut surtout le don de doucher le rythme du match, de sorte qu'on s'ennuya un peu jusqu'à la pause. Une mi-temps atteinte sur un coup de tonnerre de Pamarot : la frappe inouie de Noe, des 30 mètres, épargnait de justesse les filets parisiens.
Dès la reprise, le PSG deuxième version en profitait pour tuer le suspense. Si le tir croisé d'Ogbeche trouvait la base du poteau niçois (46e), le coup-franc de Dehu (53e) était un modèle du genre, sans rémission pour Valencony.
Salvioni, lui aussi, faisait tourner largement son effectif. Malgré quelques escarmouches niçoises, cette seconde période s'enfonçait peu à peu dans le quelconque et le décousu, sur un terrain il est vrai pas commode. Cinetti faisait cependant briller Alonzo (66e). Mané, lancé par Cherrad, était repris in extremis par Dehu (69e), puis Cherrad ne pouvait conclure sur un ballon renvoyé par Alonzo suite à un missile de Tamazout.
Un Gym sans but à l'arrivée, mais on se gardera bien de tirer des enseignements de cette partie au gout prononcé de fin de saison... |
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Steph
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