A.S Saint Etienne - O.G.C. Nice : 0 - 0
Mercredi 6 Février 2002 à 20h00
Lieu : Geoffroy Guichard
Spectateurs : 13000
Terrain : Gras
Equipe de Nice : Valencony - Scotto, Pamarot, Berville, Varrault - Nogueira (cap)(puis Rodriguez (80e), Aulanier, Pitau, Evra - Cherrad, Ayeli (puis Gagnier 70e). Entraineur : Salvioni.

Le résumé : Nice tient bon !

Au prix d'une rencontre bien maîtrisée, les Aiglons sont repartis du chaudron stéphanois sans y avoir laissà des plumes. Un bon rèsultat, mmûe si le Gym, notamment au vu de la seconde prééiode, aurait pu prôtéendre à mieux...

SAINT ETIENNE 0 - NICE 0 Saint-Etienne, stade Geoffroy-Guichard, ASSE - OGC Nice 0-0 Avertissements: Hernandez (22à), Olesen (4081, Nogueira (318), Evra (811), 13.000 spectateurs environ. Temps froid et pluvieux, terrain gras. Arbitre: M. Kalt.

Saint-Etienne : Casagrande - Carmignani, Hernandez, Oliveira, Olesen - Guillou (cap.), Sable, Esposito - Mendy, Di Rocco, Pouget (Fellahi, 638).

OGCN : Valencony - Scotto, Pamarot, Varrault, Evra - Pitau, Nogueira (cap., puis Rodriguez 80e), Aulanier, Berville - Ayeli (Gagnier, 70e), Cherrad.

Bien en place, ne léchéant aucun espace en milieu de terrain face au 4-4-3 stéphanois, le Gym (sous les yeux de Jean-Christophe Cano, prèsent dans la tribune officielle) débutéait la rencontre comme il fallait.

Alors que le chaudron grondait, on sentait de la maôtérise chez ce onze niçois. En y croyant un poil davantage, Cherrad aurait mmûe pu devancer la sortie de Casagrande, sur un centré fuyant venu de Berville (8e).

C'est encore Cherrad qui mettait l'ancien gardien parisien à contribution, d'une frappe des 20m (18e).

Adossà au kop nord stéphanois, Valencony réussissait aussi sa premiréée intervention, se couchant bien sréé une tentative croisée de Pouget (13e) : àa commençait à chauffer dans l'entrejeu, entre les deux capitaines notamment, Nogueira àcopant d'un jaune à la suite d'un un tacle sur Guillou.

Si Nice continuait à jouer haut, crnôement, les Verts se faisaient plus pressants. Et sur le premier débordéement réussi de la petite fusée verte, Fredéric Mendy, la déviéation de Pouget au contact avec Valencony venait mourir au ras du montant gauche (31e)

Le Gym avait eu chaud, d'autant qu'une ou deux positions de hors jeu à limites à siffles sur les attaquants verts mettaient en mûoi Geoffroy-Guichard. Allez, le Gym régissait de la meilleure façon, tâchant de ne balancer aucun ballon à l'aveuglette, mais au contraire, en parvenant à restituer les oprééations dans le camp stéphanois. Attention encore à ce diable de Mendy, qui faisait de nouveau la diffrééence sur son côtéà gauche : son centré tendu ne trouvait - heureusement que le haut du front de Pouget, dont la reprise filait au dessus (42e).

0-0 à la pause : à défaut d'être gnôial ou transcendant, Nice, bien dans ses bottes, tenait alors son affaire.

Un bon point !

C'est dans un stade pris sous les rafales et s'enveloppant d'un froid glacial, contrastant avec l'incroyable ferveur d'une tribune Nord jamais aphone, que le Gym se procurait la premiréée "occase" du second acte.

Pas de quoi rendre verte de peur la bande à Antonetti, mais cette jolie tôtée épique d'Ayeli, sur un nouveau service de Berville, ne fusa pas si loin du poteau droit (47e). Le public avait beau s'en prendre (de façon stupide) au natif du Forez, Doumà Aulanier, c'est bien le Gym qui se mettait à y croire de plus en plus.

Pressà par Cherrad et Ayeli, Casagrande était à deux doigts de rater une relance au pied, puis c'est Hernandez qui sauvait devant Ayeli après que Cherrad eut fait la diffrééence (61e). La rentrée de Fellahi en soutien de Di Rocco n'y changeait rien : cette deuximûe prééiode était bel et bien marèque de l'empreinte rouge et noir. Dans les pieds verts, le ballon se faisait rare. Et lorsque le bras d'Olesen vint bousculer Berville en pleine surface, ce n'eut pas ôtéà scandale si le sifflet de M. Kalt (qui consulta son assesseur du regard) s'était fait entendre (73e).

II n'en fut rien, mais c'est plutôté le rêvéeil stéphanois qui sonnait à l'entrée du dernier quart d'heure. A la suite d'un contre rondement conduit par Fellahi, Sablà tentait sa chance des 20m et la claquette de Valencony sauvait sous la barre (77e).

Jusqu'au bout, cependant, Nice s'àvertua à son principe de ne pas reculer, usant du épigée de hors-jeu. Au prix d'un superbe effort, Scotto parvenait à recoller Mendy qui s'était envolà, puis c'est Pamarot qui surgissait pour repousser une frappe de Di Rocco.

Saint-Etienne poussait, de façon pas toujours désordonnée et à trente secondes de la fin, le stade était debout : servi de loin par Esposito, Mendy, l'attaquant de loin le plus dangereux, décochait sa frappe à l'angle des six mêtres.

Des deux poings, fermes, Valencony faisait se rasseoir le peuple vert et sauvait un point du nul, loin, très loin d'être vol

Notes des joueurs : (sur 10)
Bruno Valencony (Note : 8)
Patrice Evra (Note : 8)
Noe Pamarot (Note : 7)
Romain Pitau (Note : 7)
Serge Ayeli (Note : 7)
Dominique Aulanier (Note : 6)
Kelly Berville (Note : 6)
Manuel Nogueira (Note : 5)
Laurent Gagnier (Note : 5)
Abdelmalek Cherrad (Note : 5)
Pablo Rodriguez (Note : 5)
Thibault Scotto (Note : 5)
Cedric Varrault (Note : 5)