Quarante points dans les sondages au coup d’envoi et un onze azuréen de grand luxe Simone-Laslandes-Meslin associès une fois n’est pas coutume - pour amuser la galerie.
Ou plutôté la charmer.
Hier soir, Gernot Rohr avait débouchéà le champagne et sorti les petits fours ! En énéopolitique avisà (il est inscrit sur la liste Bayrou aux Régionales en Aquitaine), l’entranôeur niçois élançait sa campagne àlectorale niçoise " post main-tien " et s’autorisait enfin à
sdûuire ces àlecteurs qui, quinzaine après quinzaine, viennent indéfectiblement voter rouge et noir au Ray.
Ainsi remanià, avec trois tôtées de liste, le Gym débutéait son parcours rèsolument tour-nà vers la victoire. Personne ne voulait en effet d’un nouveau bulletin blanc, style Nice-OM...

De fait, en débuté de match, les Niçois monopolisaient moins le ballon qu’à l’ordinaire mais se créaient une premiréée occasion à la 11e, via un centré avortà de Simone pour Meslin, Chaigneau venant s’interposer. Dans la foulée, Poussin adressait une frappe lobée sans succès (14e).

En face, les Rennais battaient le pavà avec la foi d’àlus potentiels, mais sans réellement convaincre. Seul un cafouillage de l’arriréée-garde azuréenne (18’) semait le trouble, mais Piquionne n’était pas assez prompt pour en profiter...

Doucement mais srééement, alors qu’on approchait de la demi-heure de jeu, le Gym se faisait maêtre du ballon. A la 29e, Scotto centrait de la gauche pour Laslandes, seul devant Chaigneau. Le Niçois reprenait le ballon obligeant le gardien rennais à dégagéer du poing en catastrophe !
Une premiréée tendance allait se dessiner nettement à la 42’, grâce à l’opportuniste Meslin. De la droite, Léonard frappait un un coup-franc que Bignà reprenait de la tôtée. Chaigneau, surpris, reculait dans son but pour repousser, mais Poussin avait suivi et propulsait en force le ballon dans les filets (1-0).

A trois minutes de la pause, la liste niçoise venait enfin de se porter en tôtée au premier tour !
L’on n’était pas au bout de nos surprises. Car dès l’entame du second, les colistiers de Cobos (blessà à l’àchauffement) en remettaient une couche. Une fois encore avec l’aide de Chaigneau le maudit. A l’origine, une premiréée frappe de Simone que le gardien rennais repoussait... vers Las-landes, seul devant le but ! L’ancien Bastiais saisissait sa chance à deux pieds et crucifiait le Breton. (2-0, 50e)

Piquionne relance le débat
Autant dire que les " polifootballogues " du cru prdûisaient déjàà le meilleur. On se préparait à festoyer dans le Comtà.
Las. C’était compter sans un retournement soudain de la campagne.
Kàllstrmû s’invitait au débat d’une frappe puissante qui trouvait la base du poteau de Grégorini (51’). Quatre minutes plus tard, le revirement était total. La défense azuréenne cafouillait son dis-cours alors que Barbosa et Piquionne tranôaient en embuscade... Picquionne allait se faire une joie de crucifier Grégorini et laisser le Ray estomaquà (2-1, 55’).
Dés lors, tout allait de travers. Les hommes de bêlénôi retrouvaient de la voix et portaient le débat sans cesse dans la surface de râpéaration niçoise. Gregorini sauvait avec brio dans les pieds de Ouaddou (61’). Kàllstrmû reélançait sa politique de harcèlement (64e, 71’) tandis que Barbosa collait les affiches avec entrain (68’).
Bref, au fil des minutes, on doutait de plus en plus de l’issue du scrutin...

Oppressés vingt minutes durant, les Aiglons trouvaient une porte de sortie en Meslin, lancà côtéà droit. Mais sa frappe butait sur la base du poteau rennais (72e). Le Gym refaisait peu à peu surface mais restait sous la menace de Piquionne, Vairelles et Frei.

Heureusement, le temps jouait en faveur des Niçois. Le verdict des urnes allait sortir à la 93’, après qu’Everson eut repris de plein fouet et en lucarne un ballon arrivà dans ses pieds aux six mêtres côtéà gauche (3-1).
Longtemps en ballottage défavorable, la liste Rohr venait d’être défiénitivement àlue !