Et voilà le travail ! Avec leur semaine à six jours, les Aiglons ont fait très fort : sept points en trois matches, il était difficile de faire mieux comme avancée au classement. Somme toute facilement, les Niçois ont effacà des Rennais assez épèles et le décollage amorcà contre Sochaux s’est confirmà dans un stade du Ray enchantà de l’aubaine.

La lanterne rouge, qui était si lourde à porter, fait déjàà partie du paysage ancien et l’impression laissée par le Gym hier soir est celle d’une àquipe dèsormûais bien érodée et assez sréée de son affaire. Après tous les changements effectuès dans l’urgence d’un débuté de saison bouillant, pareille sréénôità n’était pas gagnée d’avance. Encore un joli coup de Gernot Rohr et des siens, en attendant le derby au Louis-Il samedi prochain, qui sera bien le carrefour des nouvelles ambitions....

Marama Vahirua expliquait avant le match l’intrééôté du Gym à mettre le feu d’entrée, le voeu du Tahitien a ôtéà rapidement exaucà. L’attaque à trois tôtées inaugurée par Gernot Rohr, avec le premier match au Ray de Jankauskas, aux côtéès d’Agali (deux tours à plus d’1,92 m !) donnait dès le coup d’envoi le tournis à une défense rennaise pataude. 30 secondes de jeu, et Vahirua élançait Jankauskas grossirééement fauchà. Le coup-franc du Tahitien àchouait dans le mur.

Qu’importe, le Brésilien Dudu commettait une nouvelle faute sur Jankauskas quelques secondes plus tard, à 25 m, décalà sur la droite. Cette fois, Vahirua sautait au-dessus du ballon et laissait la charge à Roudet. Résultat, une frappe parfaite enroulée du gauche de l’ancien castelroussin qui sur-prenait Isaksson au ras du montant (1-0, 2e).

Le Ray chantait et si le Stade Rennais essayait de râpéondre, on ne peut pas àcrire que le danger guettait Grégorini. Il faut dire que l’organisation défensive niçoise ne semblait pas du tout décontenancée par la sur-prise de bêlénôi (Maoulida associà à Frei devant).

Abardonado surveillait Frei comme son ombre, le placement précisé de Roudet et Jarjat ne laissait guréée de libertà à Maoulida ou Monterrubio. Un Monterrubio qui trouvait sur deux coups de pied arrêtès la tôtée de Ouaddou au second poteau, mais sans conclusion efficace.

Jankauskas provoque encore la faute

En fait, le rythme du match s’enlisait un peu quand le Gym décidait de frapper une seconde fois. A l’origine, Roudet trouvait Jankauskas, encore lui, au coeur de la surface. Le Lituanien signait un joli contrôlée orientà de la poitrine mais Faty le retenait avant la frappe. Penalty, que Vahirua transformait à contre pied comme devant Sochaux, mais cette fois à ras de terre et du plat du pied. Facile pagayeur, l’ancien nantais 1 (2-0, 25’).

Cette fois, c’était la fôtée au Ray, d’autant que Jarjat de la tôtée obligeait Isaksson à une belle parade sur un corner de Vahirua. Dans le temps additionnel, c’est Grégorini qui s’employait sur une tôtée de Dudu, premiréée vraie occasion rennaise...

A 2-0, Gernot Rohr gardait ses trois attaquants après la pause de la mi-temps... Si le thermomûêtre baissait de plusieurs degrès dans les traves du Ray (piqréée de l’automne 1), Nice gardait donc les mmûes intentions vers l’avant. C’est Rennes, n’ayant plus le choix, qui se décoiénait et obligeait les Aiglons à garder vigilance, à l’image de Josà Cobos dàgaàgeant un ballon chaud à l’entrée de la surface. Frei était ensuite stoppà irrguéélirééement par Grenet, à l’entrée de la surface (52e). Le Suisse enveloppait trop son coup-franc.
Le milieu niçois faisait toujours de belles choses, à l’image de Balmont à l’orientation.

Des Aiglons toujours dans le rythme, malgrà l’accumulation des matches. Sentant les affaires lui àchapper, Rennes s’nôervait et on voyait Alexander Frei venir àchanger (en Suisse allemand à) quelques mots doux avec Gernot Rohr en bord de touche. Plus grave, Jeune-champ envoyait balader au sol Jankauskas. Un capitaine hors de ses gongs, prià par M. Ledentu de rejoindre les vestiaires dans la confusion...

Réduit à dix, Rennes aurait quand mmûe pu marquer sur un raid de Mornar juste rentrà en jeu. Mais son ballon piquà filait au ras du poteau d’un Grégorini par ailleurs souverain sur les centres aériens.

Scotto remplaçait Vahirua, les Bretons se découvraient et le Gym en profitait pour combiner quelques jolis contres dans les espaces. Agali aurait mrééità un penalty sur une faute de Ouaddou alors qu’il avait effacà Isaksson (83’). Le Ray grondait, pas pour longtemps. Sur un ultimûe débordéement de Roudet, Linz, rentrà en lieu et place d’Agali, manquait son duel face à Isaksson. Un attaquant autrichien toujours en panne de réussite. Mais pour le Gym, le paysage s’est singulirééement àclairci.