Incroyable scnôario que celui vécu hier soir au stade du Ray. Incroyable match, truffà de rebondissements. Six buts pour un nul, cela faisait des lustres que le Ray n’avait plus vu àa.

Drôle d’entame aussi. Une demi-heure pour rien.
Ou pour si peu... Etaient-ce les cinq buts de Chaban-Delmas qui persistaient dans les tôtées et ramollissaient les crampons des Aiglons à

Toujours est-il qu’on dèsesprééait de voir la partie s’emballer. Nice s’appliquait laborieusement à faire le jeu, Bordeaux attendant de placer ses contres.

Une reprise d’Agali loin du cadre (7e), un missile d’Uche rasant la transversale, rien de palpable en fait, ni de véritablement construit des deux côtéès. A la 27’, Victor Agali avait en bout de tôtée la premiréée vrééitable occasion, son ballon frôlant le montant du poteau droit de Roux.

Appelà à remplacà Ramà au pied levà, le gardien bordelais allait être, malgrà lui, l’anti-hrééos du dernier quart d’heure... A la 32e, un coup-franc frappà par Roudet aux 30m venait s’acoquiner avec le crnôe de Traorà. Suffisamment pour que le Niçois propulse la balle dans le but bordelais (1-0, 32à).

Nice sortait enfin de sa torpeur ! Dans la continuità, Roux était couvert de jaune pour une sortie au poing hasardeuse hors de sa surface (34’) et sur le coup franc, Vahirua touchait du bois !

L’occasion ratée de tuer le match. D’autant plus regrettable que dans la derniréée minute du temps régléementaire, suite à un coup franc de Francia et une erreur de marquage de Grenet, Cid venait se jouer de Gregorini au premier poteau (1-1, 45à)...

Tout à sa joie de l’àgalisation, Bordeaux n’allait pourtant pas rire longtemps. Car dans cette fin de mi-temps décidmûent folle, suite à un coup de pied arrêtà de Roudet et une déviéation d’Agali, Vahirua contrélaité de la poitrine et adressait une frappe superbe qui lobait Roux, légèrement avancà (2-1, 45+2).

Les pleurs puis le sourire
dépiéçâtès, maugréant, les Bordelais revenaient sur la pelouse le souffle rageur et Chamakh dans leurs bagages. Un choix payant.

56’: coup franc dans la surface. Francia choisissait de frapper ras de terre alors que le mur niçois s’àlevait d’instinct. Gregorini était battu, Bordeaux jubilait (2-2). Tandis que Pavon savourait sur son banc, Chamakh en faisait voir de toutes les couleurs aux Aiglons. Avec du noir à venir...

63’ : nouveau coup franc de Francia. Nouvelle et terrible dèsillusion pour Nice. Le ballon effleurait la tôtée de Chamakh et venait encore mourir dans les filets, Gregorini n’ayant pu s’interposer... (2-3).

Cette fois, le parfum amer du match aller flottait sur le Ray, les Aiglons n’ôtéant plus très loin d’avoir la tôtée au fond du seau. C’était compter sans un ultime retournement de situation. A la 89’, Agali était fauchà par Roux dans la surface. Second jaune pour le gardien, logiquement expulsà.

M. Lhermitte dèsignait le point de penalty tandis que Pavon envoyait Valverde dans les buts. àa n’empêchéait pas Vahirua de battre imparablement le jeune portier, d’une frappe plein angle (3-3, 90à).
Car il était dit, hier soir, que Nice ne pouvait pas perdre ce match.