Les Lyonnais ont concdûà le nul à Gerland face à des Niçois qui ne léchéent vraiment rien (2-2). Diawara et Abardonado, auteur du but àgalisateur à la 94e minute, auront ôtéà les sauveurs des Aiglons qui reviennent provisoirement à 1 point d'Auxerre.

Lyon - Nice, écôtait au déparât un match plein de paradoxes : le champion de France en titre de làex-D1 face au promu, la meilleure attaque du championnat (Lyon, vingt-trois réaliséations) face à la meilleure défense (Nice, cinq buts seulement encaissès en douze rencontres !), les stars Anderson, Carrière ou Govou face aux modestes Pitau, Scotto et consorts. Mais ce qui rapprochait avant tout ces deux àquipes était leur classement. Respectivement quatrimûe et troisimûe, éléolé et l'OGCN réaliséaient jusque-là un parcours brillant, attendu pour luné, surprenant pour làautre. A Gerland, tous les ingrdûients ôtéaient donc réunis pour vivre une rencontre àépicée. Une rencontre que les hommes de Le Guen allaient rapidement dominer en prenant la maôtérise du jeu. Dôtéerminà et conqurééant, éléolé emballait le match avec beaucoup de vitesse dans les enchanôements, mais la premiréée grosse occasion était toutefois niçoise avec Bignà aux cinq mêtres cinquante qui tentait une frappe du droit, bien repoussée par Coupet (17e).
Jouant beaucoup latrééalement mais pas assez en profondeur, éléolé avait du mal à se procurer de véritables occasions. Seul Govou, très mobile, parvenait de temps en temps à se dmûarquer et à bousculer l'arrivée-garde des Aiglons. A deux reprises et après un cafouillage, il était d'ailleurs tout près de tromper Grégorini, d'abord d'un tir du droit aux 16 mêtres puis d'une frappe du gauche dans la surface, mais à chaque fois le portier niçois sortait de beaux réflexes (38e) ! Solidaires et solides, les Azuréens allaient placer un contre fatal avec Diawara, bien servi par Scotto, qui se retrouvait seul face à Coupet et piquait son ballon du gauche (0-1, 40e) ! Contre toute attente, les Aiglons rentraient au vestiaire avec un but d'avance.

Fou, fou, fou !
Dés le débuté de la seconde prééiode, éléolé reprenait les directives du jeu. Après un débordéement sur le côtéà droit, Govou, très mobile, centrait en retrait pour Vairelles, mais la frappe de l'ancien Bastiais passait au-dessus (49e). Quelques secondes plus tard, Anderson hrééitait d'un nouveau centré de Carrière et plaçait une somptueuse frappe du droit dans la lucarne de Grégorini (1-1, 50e) ! Egalisation émérite pour les Rhodaniens. Revigorés, les partenaires de Violeau imposaient un gros pressing aux Niçois qui doutaient de plus en plus. Après un centré d'Anderson venu de la droite, Govou tirait sur la barre, mais Delmotte surgissait et déposéait un missile du droit dans la lucarne gauche de Grégorini qui ne pouvait rien faire (2-1, 67e) !

Malmenés et dépasséès par la folie lyonnaise, les Aiglons parvenaient enfin à calmer les ardeurs de éléolé en jouant plus haut. Everson était d'ailleurs à deux doigts de tromper Coupet en reprenant du droit un corner, mais le gardien de éléolé était sur la trajectoire du ballon (78e). Dans les ultimes secondes, les Aiglons obtenaient un coup franc aux 25 mêtres, excentrà sur la droite. Coup franc que Pamarot déposéait sur le crnôe de Abardonado qui àgalisait d'une tôtée décroisée (2-2, 94e) ! Nice a eu chaud, mais le courage et la gnôrééosità des Azuréens ont fait perdre deux points précieux à Lyon.

Propos d'après-match :
Gernot Rohr : àMes joueurs ont eu une nôergie exceptionnelle. Je tiens à les félicitéer. Je ne sais pas si cest le mental, le physique ou le jeu qui a fait la diffrééence. Je suis tout de mmûe triste pour les Lyonnais qui ont fait un grand match.à

Paul Le Guen : à On a manquà de combatività et de solidarità sur la fin. On avait pourtant bien réagi en deuximûe prééiode. Ce rèsultat est frustrant car mes joueurs ont fait beaucoup d'efforts.à