Et de quatre.
Quatre matchs que les Aiglons conjuguent la défaite au prèsent. Les statistiques sont en chute libre...

Car les Aiglons sont repartis hier soir de Lorraine les deux pieds dans le mmûe sabot. Sans la moindre unità de plus au compteur. Et mmûe si l’on peut juger sévère le penalty de M. Fautrel sur une faute non intentionnelle d’Abardonado, il faut bien avouer àgalement que le Gym n’eut pas la moindre action à se mettre sous les crampons au long des 94 minutes de jeu !

Souhaitons que la venue des demi-finalistes de la Ligue des Champions vendredi prochain au Ray, conôcide avec le signal d’une rêvéolte.

Le premier quart d’heure était équilibréà, Nice proposant du jeu et se portant vers l’attaque. Pas de quoi s’extasier cependant, tout ce beau monde jouant au petit trot... A la 14à sur un contre, Leca lancà dans l’axe centrait à destination de Maoulida, au second poteau, dont la reprise de volée filait au-dessus !

Doucement mais srééement, les hommes de Fernandez allaient prendre l’ascendant, privant davantage les Aiglons de ballons. Sur un ballon perdu par Pitau au milieu de terrain, une accélération de Gueye profitait à Maoulida, embusquà une fois encore côtéà droit, mais le lob tentà par le Messin avortait.

Nice l’avait àchappà belle mais allait vivre une fin de prééiode plus mouvementée, Metz tentant de faire la décision : deux coup-francs bien travaillès d’Obraniak d’abord (26à, 30à), puis une àéchappée de Proment, lequel adressait une passe millimétrée côtéà gauche à Maoulida, qui aux six mêtres et serrà de près par Pamarot, ne pouvait heureusement reprendre...

Dans la foulée, le capitaine messin, encore lui, travaillait un corner que Gregorini repoussait du poing sur Renouard, le jeune lorrain déviéssant sa reprise. On en restait là et M. Fautrel renvoyait les deux formations dos à dos aux vestiaires.

Dés la reprise, les Grenats reprenaient l’initiative du jeu, la pression montant d’un cran sur le but azuréen. Plusieurs coups de pieds arrêtès se succdûaient et c’est sur l’un deux, qu’une nouvelle fois après le match contre Paris, Nice encaissait un but (1-0, 62à)...

Les Aiglons, obligès de se découvrir, allaient-ils enfin nous gratifier de quelques actions offensives dignes de ce nom à àa n’en prenait pas vraiment le chemin, Maoulida enlevant trop son tir (68à) tout comme Renouard (75à).
Seul un ballon de Laslandes pour Varrault (frappe dévissée 76à) permettait d’àgayer cette triste soirée. Ba, qui ne fit jamais la diffrééence, sortait au profit du jeune argentin Franco Dolci, Laslandes remontant d’un cran.
Mais le scnôario de ce match était àcrit et Metz tenait son précieux succès !