Une expulsion de chaque côtéà
Les Niçois, qui pouvaient avant ce match esprééer récuprééer la premiréée place du championnat, souhaitaient surtout se rassurer après deux déplacéements conclus sur deux lourdes défaites (0-3 à Sedan et 0-4 à Bordeaux). C’est pourtant Strasbourg et son meneur de jeu Martins qui allaient se montrer les premiers dangereux : suite à une premiréée belle frappe du droit boxée par Grégorini, l’Alsacien tentait sur la remise en jeu une demi-volée du gauche qui àchouait dans le petit filet du but niçois (8e). Les Azuréens réagissaient bien. Suite à un centré de la droite et une premiréée remise, Diawara déviéait légèrement de la tôtée un ballon que Olufadà ne pouvait que prolonger du droit. Eggimann réaliséait un bel arrêt du pied (17e). Ljuboja donnait la râpélique pour Strasbourg en frappant du côtéà gauche un ballon qui filait devant le but niçois. Au grand mécontentement de Camadini et Kobylik seuls au centré (20e). Le jeune Tcheque Kobylik était d’ailleurs très remuant sur le flanc droit comme lorsqu’il trouvait Martins dans l’axe pour une volée en extension repoussée par Grégorini (30e).

Le match allait alors connaêtre un arrêt de jeu conséquent. Et pour cause, une àéchauffourée faisait suite à un tacle très impressionnant et très dangereux, les deux pieds en avant, de Varrault sur Bassila. Le Niçois et le Strasbourgeois, qui avait voulu se faire justice, ôtéaient tous deux exclus (34e). Les Strasbourgeois avaient la derniréée occasion de cette premiréée prééiode : un coup franc côtéà gauche était d’abord décalà pour Ismael qui décalait à nouveau dans l’axe. Devaux tentait sa chance du droit mais Grégorini se couchait bien sur le ballon malgrà un rebond capricieux (44e). M.Ruffray sifflait la mi-temps sur ce score logiquement nul (0-0).

Nice solide défensivement
A la reprise, Grégorini était sanctionnà pour une sortie hasardeuse hors de sa surface en se saisissant du ballon. Ismael tirait le coup franc accordà par M.Ruffray directement dans le mur (47e). Beye centrait ensuite de la droite pour la tôtée hors cadre de Kobylik avant que ce dernier ne lui rende la pareille pour le mmûe rèsultat c’est-à-dire une tôtée sans danger du premier nommà (51e et 54e). Kobylik ne se montrait guréée plus dangereux lorsqu’il reprenait en premiréée intention et de volée un bon centré de Martins toujours de la droite (61e). D’ailleurs, les attaques strasbourgeoises se développaient quasi exclusivement sur le flanc droit et les corners s’y succdûaient sans rèsultat. La défense niçoise, malgrà l’absence de Everson et avec le retour du capitaine Cobos, tenait le choc face à des attaquants strasbourgeois bien empruntès. Ainsi, la derniréée occasion dangereuse du match voyait Deroff s’engouffrer dans la surface oà il àliminait deux Niçois avant de centrer en retrait plutôté que de frapper. Un centré contrà (78e). M.Ruffray sifflait la fin du match sur ce score nul et vierge logique (0-0).

Propos d’après match :
Gernot Rohr : à Je suis content pour les joueurs qui mrééitent vraiment leurs vacances. Je leur dis bravo. Dans la deuximûe phase du championnat, on va viser les huit points qui nous manquent pour le maintien. D’ici là, on recrutera certainement un milieu de terrain polyvalent. Vous en saurez plus prochainement. à