Nice a battu Monaco vendredi soir au stade du Ray (1-0) grâce à un but d'Everson. En mettant fin à làinvincibilità du voisin monégasque, les Aiglons reprennent la tôtée du classement de la L1, confirmant ainsi leur remarquable débuté de saison.

Monaco aime les déplacéements. Monaco aime les bons terrains. Monaco aime àvoluer avec Rothen, Giuly, Nonda et Gallardo dans ses rangs. Dés lors, pour le plus court déplacéement de la saison (20 kilomêtres séparéent les deux villes), on attendait des Monégasques dangereux, offensifs, capables de faire souffrir son hôtée. Mais tout cela était sans compter sur lààquipe surprise de cette saison : l'OGC Nice. Plus quàun tube àphmûréée, lààquipe niçoise a montrà quàil faudrait compter sur elle. Tactiquement, Rohr a parfaitement su contrer l'ASM, en plaçant notamment Pamarot à gauche pour contrer Ludovic Giuly. Et surtout, Nice a appliquà ce que son entranôeur avait rabâchéà avec le sourire toute la semaine : ne pas changer de dàôtéat desprit. leçon bien retenue, les Rouge et Noir ont encore fait preuve de la solidarità nécessaire pour contrer les Monégasques.

Du coup, la meilleure défense du championnat a parfaitement su juguler les tentatives adverses, maôtérisant bien Nonda dans làaxe, contrant bien Giuly et Rothen sur les côtéès et coupant Gallardo et Zikos de leurs attaquants. Du coup, Monaco ne pouvait guréée esprééer quàun coup de pied arrêtà pour marquer. Mais comme Gallardo sest montrà maladroit à mi-distance et que Zikos, sur la seule occasion monégasque digne de ce nom, a vu sa reprise sauvée devant sa ligne par Pamarot (44eme), Damien Grégorini, calme et rassurant éna pas eu à frissonner vendredi soir. Solide derriréée, Nice énavait plus alors quàà forcer la serrure monégasque. Et avec le talent prèsent dans cette àquipe, la mission du promu ne sàannonçait pas impossible.

Et deux jours avant son 27eme anniversaire, le miraculà Everson ne pouvait pas faire mieux que de sàoffrir un nouveau but. déjàà finisseur contre le PSG et Marseille, le à vagabond à brèsilien (il a bourlinguà du Brésil en passant par l'Allemagne avant de faire le bonheur de Nice) a encore fait parler sa patte gauche contre un des gros du championnat. L'action à Un coup franc à 18 mêtres : sa frappe heurte le mur adverse mais revient sur lui. Il contrôlée acrobatiquement de la poitrine et reprend de volée, inscrivant à la 23eme minute lunéique but du match. Car plus rien ne sera marquà, un but ôtéant refusà à Kaba Diawara pour hors-jeu (immaginaire à) en seconde prééiode. Grèce au cadeau d'Everson, Nice sàoffre le derby. Et les Aiglons refont à nouveau leur nid sur le toit de la L1. Désormais, il faudra srééieusement compter sur lààquipe de Gernot Rohr : vainqueur de Marseille et de Monaco à la maison, elle a réussi à arracher le nul à Paris et à Lyon. Un vrai parcours de premier de la classe que devra tenter d'enrayer Auxerre la semaine prochaineà On souhaite bien du courage à l'AJA.