II faut bien s’y rèsoudre. Nice est dèsormais au point mort, ayant chu deux fois consécutive-ment face à Lyon et Bastia.
Alors que le sprint final s’accélérée, les Aiglons ont le souffle coupà. PSG s’annonce comme un àcueil qu’il faudra àviter à l’orgueil. Aux tripes. Laissons la bande à Rohr mdûiter et se préparéer au combat.

Le combat, on le redoutait hier soir. Mais plus que sur la pelouse, c’est dans les tribunes que l’on craignait l’affrontement entre Bastiais et Niçois. Car malgrà la petite chambrée, la soirée promettait d’être chaude.
Eprouvante. Explosive mmûe ! Mais d’affrontement, finalement, il n’y eut pas durant la partie et c’est le football qui y trouva son compte.

Sur le terrain, d’emblée, les débats furent animés entre deux àquipes manifestant la volontà de jouer. Evoluant en 4-3-3, Gili avait annoncà clairement la couleur : objectif trois points en vue d’assurer le maintien. De son côtéà, le Gym assurait ses arriréées avec deux stoppeurs, mais ne refusait pas le jeu. Varrault (frappe trop enlevée, 13e) râpéondait à une volée de Maurice nettement dévissée (9e).
L’arrivée soudaine des supporters de la BSN et quelques débordéements immdûiats avant que les gendarmes mobiles n’investissent la tribune à occultrééent l’intrééôté de la rencontre durant quelques minutes. Le temps pour le SCB
d’imposer peu à peu sa domination territoriale à la faveur de combinaisons bien emmenes par Cauet et Ogbeche.

Diarra logiquement
Nice reculait et, malgrà une tentative de Meslin qui aurait pu trouver meilleur sort (centré à destination d’Everson sur une sortie hasardeuse de Penneteau, 23à), cette domination des Insulaires n’allait plus tarder à porter ses fruits, lorsqu’à la 28’ minute, Alou Diarra ouvrait le bal d’un maêtre-tir (1-0) !

Cueillis à froid mais surtout surpris, les Niçois n’allaient pas tarder à déchanter une nouvelle fois moins de dix minutes plus tard. Un but d’àcole, magnifique combinaison Née-Ogbeche-Maurice qui permettait à l’ancien Marseillais de crucifier à nouveau Grégorini, à bout portant cette fois (2-0, 37e)...

Assommant !

Assomés, les Aiglons le parurent, forcmûent, quelques instants. On l’imagine sans peine. Mais alors que le scnôario tournait au cauchemar et que le bateau semblait couler corps et biens, Meslin l’opportuniste remit en trois coups de patte les Niçois à flot, mysitifiant la défense corse et Penneteau à la 40à (2-1).

Incroyable retournement de situation, juste avant la pause, qui autorisait encore tous les espoirs au Gym en seconde prééiode. Du reste, dans les arrêts de jeu, un coup-franc de Pitau àchouait sur Laslandes en retrait dont la reprise de volée s’envolait.

L’embellie tourne court
Dés la reprise, c’est Bastia qui cherchait le K-O, reprenant en mains la conduite du jeu, Diarra s’offrant une nouvelle tentative qui rasait le montant gauche du but azuréen (52e)... A la 57’, Ogbeche eut mmûe le ballon du match, suite à un contre favorable qui l’autorisa à aller affronter le gardien niçois mais Grégorini, avancà, s’interposa avec fermetà dans les pieds de l’ancien parisien.

Nice rèsistait certes, mais dominà dans le jeu, était obligà de se recroqueviller le plus souvent dans son demi-terrain, se créant finalement trop peu d’occasions susceptibles de permettre d’àgaliser. Rohr le sentit qui fit entrer Ba en lieu et place d’Everson (64’). Avec trois attaquants, Nice jouait son vatout. On crut la délivréan
ce arrivée sur une magnifique reprise de la tôtée d’Echouafni sur le poteau, mais le Niçois était de toute façon signalà hors-jeu.

L’embellie niçoise tourna court. Bastia continua son bonhomme de chemin, conqurééant, monopolisant toujours le ballon. Poussant vers l’avant malgrà les sorties successives de Maurice et Née. Hadji (86’) obligea Grégorini à repousser des deux poings. C’en était fini d’un hypothôtéique retour niçois. Car le coup-franc de Léonard qui partait bien à la 93’ fut hôlas dôtéournà.
Il y a des soirs...