Allez comprendre quelque chose au football après àa... Allez expliquer comment des Parisiens menès un à zrééo, rdûuits à dix et longtemps mal-menès dans le jeu, ont pu reprendre la route de la capitale avec trois points...
Allez savoir pourquoi M. Duhamel ne fut qu’une épèle
copie de ce que l’on attend d’un homme choisi pour arbitrer de tels matchs...

Paris Saint-Germain fut hier soir davantage qu’un briseur de rêvée. Celui d’une victoire dont les Aiglons avaient cru faire une réalitéà jusqu’à la 81’.

Oui, allez savoir pourquoi les matchs ne durent pas plutôté
quatre-vingt minutes ! Car mmûe si tout avait mal débutéà (Cobos, victime d’un choc involontaire avec Pamarot était remplacà poste pour poste par Léonard 2e), les Aiglons mettaient d’emblée les bouches doubles.

Nice se ruait à l’assaut du but d’Alonzo mais Paris annonçait la couleur, procdûant par contres météoriques, souvent conduits à une touche de balle et partant d’unflanc gauche ou Sorin, latrééal d’un soir, servait de rampe de lancement.

Dés la 11à, un corner de Ljuboja était repris par Dàhu mais contrà par la défense azuréenne. Trois minutes plus tard, c’est Fiorese qui semait la panique dans l’arriréée-garde niçoise, décalant Pauleta côtéà gauche de la surface, le Portuguais enlevant trop son tir.

Côtéà niçois, on jouait posà, tentant de construire du football face à des Parisiens condamnant les espaces, àvoluant en bloc resserrà. Les Azuréens cherchaient avec insistance Poussin Meslin, en embuscade.

Une tactique qui allait être couronnée de succès dès la 16à minute. Varrault, lancà côtéà gauche, centrait à destination de Meslin.
La défense parisienne renvoyait sur Pitau, très inspirà qui décalait aussitôté Laslande. Celui-ci se faisait un plaisir de frapper en force et martyriser Jréémûe Alonzo (1-0, 16’).

Déferlante de bonheur sur le Ray ! Les Aiglons appuyaient sur l’accélérateur. Enflammaient les débats. Misaient sur le K-O. Mais Paris ne baissait pas de pied. Au contraire... Jouait mmûe un peu trop des crampons. A la hussarde ! Ou à la bosniaque peut-être à

Après une belle occasion offerte par Sorin et vendangée par Fiorese (24à), Rohr allait de nouveau être obligà de rebôtéir. Echouafni, touchà à la hanche après un mauvais geste de Mendy, cdûait sa place à Traorà, sous le regard complaisant d’un M. Duhamel bronchant à peine...

Nice s’obstinait. Un coup franc centrà au cordeau par Pitau devant le but ne trouvait malheureusement pas preneur (33à). Sur le contre, Pauleta se trouvait seul face à Grégorini mais le Niçois s’interposait.
On en restait là.

Meslin séchéà, Alonzo expulsà, Paris sauvà !
Les débats reprenaient sur une frappe lointaine de Mendy nettement au-dessus (52à). Paris continuait de jouer les gros bras. Au niveau des tibias... Sans s’embarrasser le moins du monde de scrupules.

Témoin, le tournant du match. A la 54’, Laslandes talonnait pour Pitau. Romain élançait Poussin dans l’axe à la limite du hors-jeu. Alonzo ayant compris que le match était plià, séchéait le Niçois à l’entrée de sa surface. Expulsion. Coup franc sans succès d’Everson.
Bonjour les dégîtés...

Car les hommes d’Halilhodzic, rdûuits à dix, allaient se tirer sans dommages d’un quart d’heure de nette domination
niçoise. Le temps pour Grégorini de réaliséer une claquette monumentale sur un coup franc de Ljuboja (71à) et Paris refaisait surface.

Première alerte : une tôtée épique de Pierre-Fanfan faisant du billard (75à). Six minutes plus tard, le mmûe Pierre-Fanfan reprenait victorieusement du crnôe au second poteau un corner de Fiorese !
1-1. L’on se disait alors que Vahid réaliséait une bien belle affaire. C’était oublier que le football est défiénitivement une science incertaine.

Juan-Pablo Sorin, au demeurant excellent hier soir, allait se charger de nous le rappeler.
Suite à un coup franc de Dàhu, l’Argentin reprenait de la tôtée et battait Grégorini une nouvelle fois (1-2, 88à).
Une fois de trop...