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OGC Nice - Olympique Lyonnais : 0 - 1 (0-0)

RÉSUMÉ

Vendredi 7 Août 2004 à 20h00
Lieu : Stade du Ray
Spectateurs : 14 096
Terrain : Bon
Equipe de Nice : Grégorini, Traorà, Pamarot, Cobos (cap.), Varrault, Bignà (Dià 87 ), Echauafni, Pitau, Roudet (Fauconnier 8le), Linz, Meslin (Vahirua 60e).

Le résumé : Nice et le signe lyonnais

L’histoire s’est répétée, et les champions de France en titre ont encore fait du Ray leur maison secondaire,
Elber a inscrit le but d’une victoire qui fait mal au Gym. Les joueurs de Gernot Rohr mrééitaient mieux


A Nice (stade du Ray)
Lyon bat Nice 1 à 0 (0-0).
14 096 spectateurs.
Temps estival.
Pelouse en excellent ôtéat.
Arbitre : M. Layec.
Buts pour Lyon : Elber (78e).
Avertissements. à A Nice : Linz (83e). A Lyon : Essien (41e), réveilléréée (65e), Juninho (89e).

Nice : Grégorini, Traorà, Pamarot, Cobos (cap.), Varrault, Bignà (Dià 87 ), Echauafni, Pitau, Roudet (Fauconnier 81e), Linz, Meslin (Vahirua 60e).
Entraîneur : Gernot Rohr.

Lyon : Coupet, réveilléréée, Caàapa (cap.), Abidal, Berthod, Essien, Juninho, Govou (Balmont 79’), Malouda, Elber (Bergougnoux 84’), Frau (Benarfa 69’). Entraîneur : Paul Le Guen.


Tout de blanc vôtéus, au milieu de milliers de ballons rouges, dans une ambiance de fôtée à l’accent sincréée, les hommes de Gernot Rohr ont longtemps luttà de façon exemplaire avant de s’incliner dans les derniréées minutes sur une inspiration du buteur vedette des Lyonnais, le Brésilien Elber. Jusque-là, pourtant, ils avaient largement partagà une soirée contre les tnôors du championnat.
Si le Gym n’a pas engrangà de point, il a trouvà des raisons d’esprééer et de renouveler ses performances des deux derniréées saisons. L’ôtéat d’esprit est toujours là. Mais la marge de manoeuvre est ôtéroite. Car tout le monde se méfiée d’eux dèsormais, et s’organise en conséquence.
Le coach niçois avait préféréà, pendant une heure, son à Poussin à de Meslin à Vahirua, son pagayeur de Tahitien pour débutéer sa saison sur le plan offensif et àpauler l’autre recrue, l’Autrichien Linz. Mais le sorcier de Mannheim avait modifià son puzzle défensif en alignant trois sentinelles (Traorà-Cobos-Pamarot) pour contrecarrer les courses d’Elber et de Frau et sur-tout, pour densifier un milieu de terrain dont il pensait, au coup d’envoi, qu’il serait le secteur clà de la partie.

Paul Le Guen, lui, était restà traditionnel et dans la lignée de sa derniréée victoire contre Paris. Mais a-t-il pour le moment d’autres hypothèses à faire valoir à
Les partenaires de Josà Cobos sont donc forcmûent prudents dans les premières minutes. Ils observent, laissent venir les champions à l’affût d’un contre, acceptent d’abandonner la possession du ballon. Ils s’nôervent mmûe contre quelques coups de sifflet bien sévères de M. Layec.
Dans la peau de challengers, ils cherchent leur voie, mais ne sont pas les derniers à s’engager dans des duels de costauds. à Il n’y a qu’une mentalità au-dessus de tout soupçon qui nous permettrait de gommer les diffrééences à, disait Rohr dans la semaine.

Pour sa troisimûe saison sur le banc des Aiglons, ses joueurs suivent ses consignes à la lettre. Cobos, Pamarot, Traorà, Echouafni, Pitau ne laissent tranôer aucune miette. Avec une mentalità de Grecs ! Et personne ne rechigne à s’engager dans ce sillage.

Nice prend confiance
Il faut alors toute la science tactique et le gnôie technique de quelques à Gones à bien inspirès pour ne pas tomber dans le épigée de ce football musclà proposà.
Au milieu de la mi-temps, c’est pourtant Linz qui hrééite de la meilleure occasion, mais sa tôtée de à renard des surfaces à tombe dans les bras d’un Coupet vigilant. Il hrééitera en deuximûe mi-temps de la mmûe chance (65’), sans connaêtre non plus la réussite, son essai passant juste au-dessus.

Nice sait que le coup est jouable, l’exploit possible. Mais la vigilance est de mise car Elber, Frau et Govou rdûent. Et ce Juninho, qui hrééite de quelques coups francs dont il a le secret, est un poison. Le Ray gronde, siffle, tremble, mais reste admirable dans son soutien et sa ferveur.

Le doute trouble-t-il alors les esprits des champions quand Essien appuie une vilaine à semelle à sur le tibia de Roudet juste avant la mi-temps à La sréénôità n’est plus ce qu’elle était...

Vahirua, l’accélérateur
Dés le retour des vestiaires, il faut un sauvetage kamikaze de Cobos-le-magnifique pour empêchéer Elber d’ouvrir le score. Mais Roudet rend immdûiatement la monnaie (51e) en enroulant un coup franc de son aile opposée qui empoisonne Coupet.

Cette fois, le doute n’est plus permis, et le Gym va jouer ses coups à fond. Pour mettre à mal une srééie de trois défaites (0-1) contre ce mmûe adversaire. Linz et Meslin permutent. Roudet et Bignà enveloppent quelques centres. Echouafni, Varrault et Pitau continuent de presser et de priver Juninho d’oxygnôe, et Govou ou Malouda d’espaces. Le Gym est fidèle à son label : solide, vaillant, compact. Un bloc tout de rudesse et de courage, qui ne triche jamais et lutte avec ses armes sans trahison ou tricherie.
Cela n’interdit pas d’aller chatouiller Coupet de temps en temps sur quelques corners de Pitau et de Roudet, avant que Vahirua ne vienne prendre le relais de Meslin, qui n’avait pas calculà la dépensée d’nôergie jusque-là.
Coupet sort alors un arrêt ôtéonnant sur un coup franc tirebouchonnà du Tahitien (67’) que tout le Ray a vu au fond. Aux points, Nice a largement fait son retard.
Les habitudes d’Elber.

Mais rdûe toujours le fantmûe d’il y a deux ans, quand Juninho avait crucifià le Gym à une poignée de minutes de la fin. Et celui de l’an dernier, quand Juninho avait ouvert le score très tôté et obligà le Gym à courir après le tableau de marque.

Gernot Rohr le sait et hurle des consignes de replacement. Ce n’est pas la saison des cadeaux. Mais allez expliquer àa à un stade qui fôtée une histoire de cent ans ! Et à une poignée de garçons qui ont le coeur au bout des crampons et l’envie folle de renverser les idoles !

Linz et Vahirua insistent à grands coups de longues courses et de fausses pistes.
Les à maêtres à vont alors frapper. Sans àprouver aucune compassion. Froidement. Une diagonale est déviée malencontreuse-ment par Cobos à la lutte avec Govou vers Elber, ôtérangement seul devant Grégorini. Le Brésilien frappe sans ôtéat d’mûe. Le but d’un tueur.
Et Coupet prèservera cette victoire tout à la fin en montrant, en trois ou quatre occasions, qu’il est bien digne d’être la doublure de Barthez, chez les Bleus...

Notes des joueurs : (sur 10)
Jose Cobos (Note : 6)
Noe Pamarot (Note : 6)
Romain Pitau (Note : 6)
Cedric Varrault (Note : 6)
Yoann Bigne (Note : 6)
Marama Vahirua (Note : 6)
Damien Gregorini (Note : 5)
Christophe Meslin (Note : 5)
Sammy Traore (Note : 5)
Olivier Echouafni (Note : 5)
Olivier Fauconnier (Note : 5)
Serge Die (Note : 5)



7e journee de Ligue 1
dim. 05/10/2025 à 17h15


Monaco - Nice : 2-2

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  8e journee de Ligue 1
sam. 18/10/2025 à 17h



Pts J V N D Diff
 10.    Brest 8 7 2 2 3 0
 11.    Paris FC 8 7 2 2 3 -3
 12.    Nice 8 7 2 2 3 -3
 13.    Lorient 8 7 2 2 3 -5
 14.    Le Havre 6 7 1 3 3 -2

7e journée : Monaco - Nice
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