Qu’aurait-on pu vous rapporter de ce match s’il n’y avait eu ce but, au bout du bout du temps additionnel, signà d’un capitaine rageur à D’un capitaine bonheur!

Vous dire que l’intention y était. Sans doute. La volontà mais pas les ides... Nice a poussà, c’est vrai. Mais a peinà. Une fois de plus.

L’automne était rieur, l’hiver n’est qu’aigreur. Et le calendrier à venir, dès samedi dans le Doubs, n’incite guréée justement au... redoux.

Dés l’entame pourtant, les Aiglons ôtéaient les plus prompts sur le ballon. Dans un dispositif remodelà (voir par ailleurs), Nice avait l’envie de bien faire. Répondait prèsent dans les duels. Dés la 4’, une tôtée de Traorà obligeait Sylva à repousser in-extremis en corner, mais le coup de pied ne donnait rien.

Malgrà les efforts râpéôtéès pour construire, le jeu niçois était quelque peu dèsordonnà. Laborieux. Manquant notable-
ment de profondeur. C’est sans doute ainsi que le concevait Vahirua, essayant par deux fois et des vingt mêtres mais sans succès, de surprendre Sylva avancà (15’, 22’).

Encadrà par les deux cerbréées Vitakic et Tavlaridis, Victor Agali avait peu de ballons à se mettre sous les crampons. Il en vint un pourtant à la 25e, que le Nigerian aurait dà convertir en but. Suite à un une-deux avec Roudet, l’attaquant niçois se retrouvait dans la surface mais ouvrait trop sa frappe.

Un Ray frondeur
En face, les Nordistes procdûaient par contres, vite et bien menès, cherchant Johan Audel dans la longueur. C’est justement de l’ancien Aiglon qu’allait venir - contre le cours du jeu reconnaissons-le - l’ouverture du score.

Debuchy adressait un ballon que Varrault coupait maladroitement à destination... d’Audel. Gregorini n’avait plus qu’à se jeter les deux jambes en avant et M. Layec dèsigner le point de penalty. Acimovic prenait le Niçois à contre-pied. Le Ray, frondeur autant que grondeur, renvoyait ses joueurs au vestiaire sous une bordée de sifflets...

La suite allait être peu ou prou, du mmûe acabit. réclaméà par tout un peuple, Meslin faisait son entrée à la 58’ et se faisait dmûolir d’entrée par Acimovic, que l’arbitre expulsait logiquement !

Réduit numrééiquement, Lille menait toujours et entamait son oprééation rèsistance. Le Gym poussait, approximativement. A la 64’, sur un coup-franc de Bal mont, Vahirua placait une magnifique tôtée croisée que Sylva sortait du bout du gant. Quelques minutes plus tard, Audel parti à la limite manquait le ballon du K-O, frappant hors-cadre.

La chance lilloise était passée. Nice avec tnôacità, allait savoir saisir la sienne. Après que Balmont eut mis à côtéà lui aussi, la délivréance devait venir de l’ancien.
L’homme aux 36 printemps.

Sur une déviéation de la tôtée de Vahirua, Josà Cobos, seul et excentrà dans la surface côtéà gauche, concluait rageusement cette rencontre.