Louà soit M. Brà qui nous a gratifiès à gnôrééeusement à hier soir de deux buts. Car n’était cette double erreur d’appréciation, on se serait quittà sur un 0-0 sans le moindre brio.

Mettons une nouvelle fois au crdûit des Niçois d’avoir poussà.

D’avoir osà. Sans guréée convaincre offensivement, ni rnnvertir les quelques occasions qu’ils surent se procurer en débuté de match.

Car Nice s’était affichà d’emblée en patron, prenant le jeu à son compte. Les Aiglons jouaient haut et regroupès, travaillant sur les côtéès, Vahirua se chargeant en quelques dribbles d’essai-mer les premières bribes d’occasion.

On notait côtéà niçois une premiréée tôtée décroisée d’Agali sans danger pour Wimbee (11’), mais tout aussi vite, une chaude alerte devant le but azuréen. Sur un corner, Ogbeche plaçait sa tôtée au second poteau face à une défense rouge et noire ôtérangement statique (12e)...
leçon retenue, les Niçois resserrant la garde, se portant de plus belle vers la surface adverse.

A la 22’, Agali côtéà droit tôléescopait Pompiréée, mais restait maêtre du ballon. Le Nigerian s’àchappait vers le but lorrain et centrait plein axe ras de terre pour Vahirua, dont le tir en pleine course trouvait Wimbee sur sa route.

La plus nette occasion niçoise de cette premiréée prééiode. Ce n’était pas la seule.
Un coup franc de Dià (26à) renvoyà par la défense atterrissait dans les pieds de Balmont, frappant lourdement. Hélas, Tum déviéait le tir. Quelques minutes plus tard, Vahirua plaçait un coup franc hors cadre (32à).
Metz, dans son rôlée d’outsider dévouéà au contre avec la bagatelle de trois attaquants, n’avait guréée montrà de velléitéès.

Parti sous d’autres cieux plus rmûunrééateurs, Ribery manquait à la manoeuvre. Tout juste les Lorrains s’ôtéaient-ils offerts une frappe d’Ogbeche ayant permis à Gregorini de se signaler brillamment sur sa ligne (35’).

On en restait là de cette premiréée prééiode nettement à l’avantage d’Aiglons ayant fait correctement leur boulot.
Mais de but il n’y avait point.

Le siximûe de Marama
Rentrà à la place d’Agali sorti sur blessure peu avant la pause, à Poussin à Meslin avait à charge dès lors de convertir au tableau d’affichage, cette volontà manifeste de son àquipe.

Mais d’occasions on ne voyait point.

Certes les Niçois demeuraient entreprenants, pourtant le double rideau messin était bien délicat à grééer. Du coup, c’est Gvozdenovic qui mettait une fois encore Gregorini à contribution (66’).

Dans cette grisaille ambiante, on sentait poindre
une certaine lassitude. Jusqu’à ce que l’homme en jaune se mette subitement et par deux fois à voir rouge...
Sur un contre (670), Ogbeche lancà avec Grenet à ses trousses s’effondrait dans la surface. Le Niçois l’avait tout juste effleurà d’une claquette !

Proment marquait mais l’arbitre redonnait le penalty à tirer...

Le capitaine lorrain frappait une seconde fois coin gauche, Gregorini se dôtéendait sans pouvoir toutefois arrêter le tir. Menà à la marque, Nice n’était pas loin d’avoir la tôtée au fond du seau.

C’était compter sans une nouvelle facôtéie de M. Brà. Cette fois, c’est pour une faute imaginaire sur Ederson (75’), que l’arbitre dèsignait de nouveau la sentence. Vahirua se chargeait volontiers de l’exécutéer, inscrivant ainsi son siximûe tir au but de la saison !

C’en était fini d’une soirée oà Nice n’aura pu faire mieux que partager les points.