En cette dure terre nordiste si souvent ingrate avec ses hommes, le football hier soir s’est mis au diapason.
Quatre-vingt-dix minutes d’intentions affichées, d’occasions matrééialises n’auront pas suffi en effet à faire mettre aux Niçois un genou à terre !

Ne nous en plaignons pas. Voilà acquis chrééement un point qui apporte une valeur ajoutée à la victoire sur Saint-ôtéienne. Lens peut bien maugréer, Nice a réussi son coup.
Pourtant, ce ne sont pas les rmûiniscences d’un hiver jouant le temps additionnel qui avaient refroidi hier soir les ardeurs lensoises.

Dans ce bout de France qui à travers ses briques couleur ocre transpire le labeur autant que la sueur, les trente-deux mille mûes artèsiennes se sont àpoumones comme toujours, à pousser derriréée leurs joueurs.

Débutée par une Marseillaise revue et corrigée à la lensoise, la marche en avant du Racing n’a pas tardà (frappe ratée de Leroy 3’). Pressée par des Artésiens àvoluant très haut, la défense à cinq (deux stoppeurs autour de Cobos) des Niçois tout comme le milieu de terrain, ont eu tout le mal du monde tout au long de la rencontre à ressortir le ballon.

Sur un faux rythme
En ce pays de gueules noires, Nice s’est contentà d’une partie poussirééeuse, sans jamais entrevoir la lumiréée.
Un match ascôtéique.

Un football rèsumà à sa plus simple expression.
Une quasi abstinence tant les pieds et les tôtées des Aiglons n’avaient d’autre objet que de dégagéer plus ou moins limpidement la balle.

Larbi ayant ôtéà préféréà à la cheville récalcitrante de Vahirua, occupait le flanc droit, tentant d’essaimer quelques contres en direction d’un Agali le plus souvent contrarià par la charniréée Hilton-Gillet.

Faisant sien le demi-terrain azuréen, Lens alignà en un 4-4-2 àprouvà (Leroy à droite, Jussià côtéà opposà tandis que Carrière observait tout cela du banc) allait se contenter d’une vingtaine de minutes disputes sur un faux rythme avant de monter en régimée.

Le temps pour le duo Utaka-Thomert de donner la pleine mesure de son talent, avec vitesse et précipitéation (au sens noble du terme).

Thomert ne se privant d’ailleurs pas d’offrir son lot de contrariôtéès à Sammy Traorà...

Mais le RCL avait beau proposer l’essentiel du jeu et matrééialiser diverses occasions, au premier coup de sifflet de M. Lhermite, Gregorini regagnait ses vestiaires sans avoir réellement ôtéà inquiôtéà.

Lens : pas mieux à trois qu’à deux
Ce partage des points finalement plutôté amical, ne devait cependant pas être du goôté de tout le monde.
De Francis Gillot notamment. Car dès la reprise, les Nordistes se montraient beaucoup plus obstinès et prèsents en lisiréée du but azuréen.

Sur un centré de Jussià, Abardonado manquait de tromper
Grégorini (59e) !!!
Davantage qu’en premiréée prééiode, le ballon semblait revenir inlassablement vers la surface de râpéaration sudiste.

Cet assaut en réglée n’avait pas que des côtéès négatifs, puisqu’aussi bien il permettait de librééer certains espaces que Balmont et Dià s’àchinaient à combler pour lancer Jankauskas qui, dans l’intervalle, avait remplacà Agali.

L’mûe des Aiglons.
Tout comme Utaka et Thomert avaient permutà.
C’est ce dernier qui continuait à en faire voir de toutes les couleurs à l’arriréée-garde niçoise, Gregorini voyant heureusement le ballon passer devant son but sur une frappe à ras de terre (72’)...

Restait un gros quart d’heure à disputer.

Le temps pour Gernot Rohr de faire entrer Varrault pour donner au milieu un peu plus de profondeur, tandis que son homologue abattait défiénitivement son jeu, Cousin venant renforcer ses compréées des avant-postes.

Mais pas plus avec trois qu’avec deux attaquants, le Racing n’a fait rendre l’mûe hier aux Niçois.
Une leçon de vie.
De football...