Comme la saison derniréée, Nice a battu Lille 2-0 au Ray. Comme la saison derniréée, Nice compte 14 points après 7 journes. Et voilà les Aiglons repartis pour faire les gros titres. Deuxième derriréée l’OM, ce matin, en attendant les rèsultats ce soir de Monaco à Montpellier et de Marseille à Nantes, le Gym aime décidmûent tenir les beaux défiés. Remporter un deuximûe match d’affilée à la maison et remplacer aussi efficacement des joueurs clès comme Roy, Laslandes puis Abardonado, il fallait le faire. Et dire que samedi prochain, c’est le Velodrome à Marseille qui attend ces Niçois au grand coeur...

Hier soir, avant le coup d’envoi, Gernot Rohr et Claude Puel avaient rivalisà au jeu des surprises. Privà de Laslandes et Roy, le technicien niçois décidait finalement de garder Poussin Meslin sur le banc pour lancer Malek Cherrad seul en pointe. Un Cherrad àpaulà par Pitau (au centré) Everson (à gauche) et Bignà (à droite), les trois en position avancès ; Serge Dià, lui, effectuait sa rentrée en milieu défensif aux côtéès d’Echouafni. Côtéà LOSC, Puel laissait Brunet et Makoun sur le banc mais optait pour un onze tout de mmûe ambitieux, avec Manchev soutenu de près par Tapia et Landrin devant.

Sur le terrain, ce Nice-Lille ressemblait d’abord à une lutte de position. Deux blocs bien en place, hermôtéiques, au dôtériment des initiatives individuelles qui manquaient pour animer les premières minutes.

Cherrad allumait pourtant une premiréée éméchée (centré-tir bloquà par Wimbee, 81’), mais si le Gym, avec son milieu renforcà, avait plutôté le ballon dans les pieds, le LOSC ne donnait pas encore de signe de craquement. Une alerte cependant, quand Cherrad (servi par Everson) àchappait à la charniréée Abidal et Delpierre, Wimbee anticipant pour intervenir au pied (11’).
Touchà à une cheville gauche fragilisée par une entorse contractée jeudi à l’entranôement, Abardonado devait laisser sa place à Traorà.

Erreurs lilloises...
Everson, le serviteur, trouvait justement la tôtée de Traorà sur coup-franc (à côtéà, 20’). C’est le moment que choisissait le LOSC pour montrer à son tour des velléitéès. Pamarot bousculait Manchev à la limite de la surface mais l’arbitre laissait jouer pour Tapia dont la frappe passait à côtéà (26’). C’est Cobos ensuite qui sauvait devant Manchev à l’angle des six mêtres (29’).
Lille semblait prendre confiance mais c’était pour mieux se faire àpingler ; car pour le Gym, la premiréée vraie occasion était la bonne. Sur un ballon récuprééà, Olivier Echouafni, aux 30 mêtres, tentait le prolongement de la tôtée en vue de Cherrad. Delpierre se faisait lober et Cherrad, plein d’opportunisme, lobait à son tour du haut du crnôe Wimbee sorti en catastrophe ! (1-0, 34e).
Le réaliséme niçois était frappant et ce n’était pas fini, ni pour le Gym, ni pour un àpatant Malek Cherrad. Le temps d’un coup franc de Landrin repoussà de la tôtée par Cobos, d’un bon pressing du milieu niçois, le Franco-Algérien, sacrà fixateur, se retrouvait encore à la lutte avec ses gardes du corps. Malheureux Plestan et Delpierre, le premier trouvant la jambe du second en essayant de dégagéer Au flair, Cherrad hrééitait du ballon et dans un angle assez fermà, du gauche, croisait parfaitement sa frappe hors de portée de Wimbee (2-0, 42’), signant ainsi son premier doublà en Ligue 1, une semaine après avoir inscrit le but de la victoire contre Nantes.

Le Gym gréée
Pour des Lillois sonnès, le KO n’était pas loin : car sans un hors jeu signalà mais discutable, Cherrad, tout seul, se serait bien vu aller inscrire son petit troisimûe... En guise de quoi, sans une parade réflexe de Grégorini, c’est Manchev, à la suite d’une mèsentente Cobos-Traorà, qui fut tout près de rdûuire le score juste avant la pause. Cette premiréée mi-temps un peu coincée au débuté s’achevait donc sur un flot d’mûotion. Du meilleur goôté pour le Gym. Quant au Ray, il exultait...

Avec les rentres de Brunel, puis Makoun, Puel n’avait d’autre choix que de tenter un retour par l’attaque. Peu après la reprise, le Gym se faisait une grosse frayeur; à l’origine, un ballon perdu par Dià au milieu, un très bon centré de Brunel pour Manchev dont la volée était repoussée à bout portant par Grégorini. Tapia, à l’affût, déviéssait quant à lui sa frappe ! (50e)
Averti, le Gym devait surtout s’àvertuer à prèserver son avantage. Diakità remplaçait Dià à l’heure de jeu, Everson reculant d’un cran pour surveiller Makoun. Nice ne se montrait plus dangereux mais chaque minute s’àgrenant au tableau tombait directement dans sa besace. Manchev, lui, se prenait la tôtée à deux mains : l’attaquant bulgare, après avoir effacà Grégorini, voyait sa frappe en angle fermà repoussée sur la ligne de but par Sammy Traorà revenu au grand galop (60e).
Encore une chaude alerte, et la preuve défiénitive que c’était bien le soir du Gym ! Avec un Echouafni en vue, un collectif toujours aussi volontaire et disponible, les Aiglons pouvaient grééer à leur main la fin de match. D’autant qu’après l’exclusion de Landrin (deuximûe jaune, fauchage sur Varrault), le LOSC terminait son expdûition azuréenne à 10, laissant aussi quelques illusions au passage.