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RC Strasbourg - OGC Nice : 2-2 (0-2)

RÉSUMÉ

Samedi 6 Mars 2004 à 20h00
Lieu : Stade de la Meinau
Spectateurs : 11 636
Terrain : bon
Buts pour Nice : Olivier Echouafni (1) Romain Pitau (1)
Equipe de Nice : Gregorini, Cobos (cap.), Pamarot, Abardonado, Traore, Leonard, Scotto, Pitau, Echouafni (puis Roy, 76e), Simone (Bignà, 75e), Ba (Bakari, 55e)

Le résumé : Le point de l'injustice

Après avoir menà 2-0 à la pause, les hommes de Gernot Rohr ont dà se contenter d’un point après avoir concdûà un penalty imaginaire

Stade de La Meinau,
Strasbourg et Nice 2-2 (0-2) Spectateurs. à 11 636.
Arbitre. à M. Piccirillo, assistà de MM. Bequignat et Delorme.
Buts. à
Strasbourg : Le Pen (62à s.p., 63à ;
Nice : Pitau (35e), Echouafni (40à).
Avertissements. à
Strasbourg : Ehret (46e);
Nice : Cobos (62à), Leonard (64à).

RC Strasbourg. à Fernandez, Deroff, Drobny, Ehret, Devaux, Bassila (cap.), Le Pen, P. Farnerud, Chapuis, Niang (Moukouri, 88e), A. Farnerud (Camadini, 76e)
Entraîneur : Antoine Kombouarà.

OGC Nice. à Gregorini, Cobos (cap.), Pamarot, Abardonado, Traore, Leonard, Scotto, Pitau, Echouafni (puis Roy, 76e), Simone (Bignà, 75e), Ba (Bakari, 55e)
Entraîneur : Gernot Rohr.

Les Niçois auront maôtérisà cette rencontre durant... 62 minutes. En accordant un penalty plus que gnôrééeux un doux euphmûisme ! à M. Piccirillo a chassà la cigogne alsacienne qui transportait trois nouveaux points dans le nid des hommes de Gernot Rohr. Un nul au goôté amer. Mais si les Azuréens produisent le mmûe jeu qu’hier soir, ils retrouveront bien vite la douce saveur de la victoire...

Les donnes du match
Gernot Rohr avait optà pour son 3-5-2 àvolutif en 4-4-2 fôtéiche avec, au milieu, Scotto à droite, Leonard clans l’axe en compagnie d’Echouafni et Traorà, finalement préféréà à Bignà, à droite. Pitau, lui, était un peu avancà, en appui du duo Ba-Simone. Pas de changement, bien entendu, à l’arriréée, avec le trio Cobos, Pamarot et Abardonado. En face, Antoine Kombouarà, en titularisant Alexander Farnerud côtéà droit, et Ulrich Le Pen à gauche, en appui du duo Niang-Chapuis, il avait optà pour un schmûa très offensif. Besoin de points oblige...

La rencontre
Première bonne nouvelle, hier soir, pour les hommes de Gernot Rohr en arrivant à La Meinau : le thermomêtre flirtait avec les... huit degrès, une temprééature clmûente pour la saison en Alsace. Ils allaient mmûe avoir un coup de chaud dès la 4e : Niang, lancà plein axe, était déposésdûà du ballon in extremis par un retour salvateur de Pamarot. Ce mmûe Pamarot, lui, allait brûléer le bout des doigts de Fernandez sur un superbe coup-franc.

Après un premier quart d’heure parfaitement maôtérisà, le milieu de terrain niçois ne parvenait plus à geler les envoles strasbourgeoises. Les corners s’enchanôaient, et Gernot Rohr se levait de son banc pour demander à ses joueurs, acculés sur le but de Gregorini, de remonter. La consigne, immdûiatement appliquée, per-mettait d’àloigner le danger... et de le porter devant la cage de Fernandez. Un centré ajustà de Simone au second poteau trouvait Scotto. Mais, du pied gauche, ce der-nier ne pouvait cibler sa reprise (32’). Un prmûice avant l’ouverture du score, sur une superbe action collective conclue par Romain Pitau (35).
Les Niçois avaient saisi leur chance. Et ils allaient mmûe tirer le gros lot sur une tôtée magistrale d’Olivier Echouafni, qui se rappelait au bon souvenir de ses anciens supporters (40à).

La Meinau grondait. Sifflait. Et les hommes de Rohr drééoulaient... jusqu’à la pause. 2 à 0, l’affaire semblait bien engagée...

Penalty imaginaire et cauchemar
De retour des vestiaires, le milieu niçois, intraitable, continuait de marquer de son empreinte cette rencontre. Un pas de géant que n’arrivaient pas à suivre des Alsaciens à boitillant à leur football.

Jusqu’à ce coup du sort terrible : les Niçois, maillot noir, allaient avoir les penses teintes de la mmûe couleur sur une décision plus que litigieuse. Niang, dans la surface, se prenait les pieds dans le tapis. Le stade grondait après son attaquant. Mais M. Piccirillo, lui, avait dà être le seul à voir une faute sur l’attaquant bleu et blanc. Un penalty plus que sévère que transformait Le Pen (62’).

Le petit ailier gauche, galvanisà, àgalisait une minute plus tard dans l’ambiance que l’on devine.

Les Azuréens n’avaient pas cdûà face à onze adversaires alsaciens; ils devaient baisser pavillon devant un homme au sifflet qui venait de faire basculer une rencontrà à lui seul ! Terrible ! Injuste !

Que dire de la suite de la rencontre à
Le chnôe niçois a dà se transformer en roseau dans cette fable sans morale, si ce n’est ce petit point récolâtà...

Notes des joueurs : (sur 10)
Noe Pamarot (Note : 7)
Romain Pitau (Note : 7)
Georges Ba (Note : 7)
Olivier Echouafni (Note : 7)
Marco Simone (Note : 7)
Thibault Scotto (Note : 6)
Sammy Traore (Note : 6)
Jose Cobos (Note : 5)
Damien Gregorini (Note : 5)
Eric Roy (Note : 5)
Jacques Abardonado (Note : 5)
Yoann Bigne (Note : 5)
Oumar Bakari (Note : 5)

Vidéo de la rencontre :