Acimovic - auteur d’un triplà avec sa sélection face à la Moldavie - et Moussilou ayant fait les frais de la strééilità offensive lilloise, Audel et la recrue nigrééiane Odemwingie ôtéaient titularisès par Claude Puel, qui prà-sentait une formation alignée dans un 4-4-2 classique.

Gernot Rohr, lui, malgrà les changements de derniréée minute de son homologue nordiste, ne changeait rien à ses dispositions tactiques mais devait malheureusement se passer des services de Jankauskas, supplàà finalement par Linz à la pointe de l’attaque niçoise.

Deux schmûas dessinès pour partir à la conquôtée de l’adversaire, mais quelque peu raturès durant le premier quart d’heure de la rencontre par les craintes des uns et des autres.

Sérieux, appliqués et motivès, les Aiglons parvenaient à contrôléer les espaces entre les lignes, grâce à un pressing très haut des attaquants et des milieux de terrain. Audel, lui, àchappait au marquage de ses anciens partenaires et, à l’entrée de la surface, inquiétait Grégorini en reprenant le ballon du bout de la semelle gauche (17’). Les Azuréens réagissaient en montant d’un cran supplmûentaire. Une contre-attaque menée par Balmont et Roudet n’aboutissait pas, suite à une incompréhension avec Linz.

A la demi-heure de jeu, un coup franc ne pouvait être repris de la tôtée par Makoun, seul aux six mêtres. Juste de quoi faire frissonner l’àchine des supporters niçois, torse nu dans les tribunes du Stadium de Villeneuve-d’Ascq Grégorini, lui, se réchaufféait les gants sur un tir lointain de Landrin... et la temprééature sur le terrain grimpait de quelques degrès suite à une faute peu àvidente de Bisconti sur Audel (36’).

Quant au baromêtre des occasions, il affichait toujours zrééo. Pas ôtéonnant donc à ce que les deux formations rentrent aux vestiaires sur un score vierge...

Brunel dans les arrêts de jeu

De retour sur le terrain, un vrééitable délugée s’abattait sur Villeneuve-d’Ascq. Les àlmûents se déchanôaient et, au milieu de l’orage, Makoun tentait un àclair sur un retournà dans la surface azuréenne (54’). Pas de quoi inquiôtéer Grégorini cependant...

Landrin, pourtant, aurait pu ouvrir le score pour le LOSC si Cobos, revenu du diable vauvert, ne s’était interposà. La possession de balle était niçoise, les Azuréens proposaient une maôtérise certaine, offraient quelques phases bien construites. Mais les Lillois ôtéaient les plus dangereux à l’image de la reprise de volée d’Audel qui passait au-dessus (62’). Ou encore de ce tir de Brunet dôtéournà du bout du pied par le portier niçois (69’).

La meilleure occasion du Gym allait intervenir à la 72à minute Roudet donnait à Bignà. Ce dernier remisait de la tôtée dans la course de Linz. Mal-heureusement, la pointure de l’Autrichien était trop petite...

Un coup franc de Roudet (77’) maintenait le danger dans le camp lillois. Nice poursuivait son êtreinte par un jeu fait de vivacità et de culot. La preuve, Roudet àchappait, côtéà gauche, à son garde du corps pour délivréer un centré tendu qui ne trouvait malheureusement personne à la réception.

Le jeu se durcissait alors. Lors du dernier quart d’heure, si la pluie avait cessà, on eut droit à un vrééitable délugée d’avertissements ! Et sur un coup franc dans les arrêts de jeu, le pire allait arriver à l’OGC Nice. Varrault dèséquilibrait Makoun à l’entrée de la surface. Brunei expdûiait le ballon dans le coin droit de Grégorini qui ne pouvait esquisser le moindre geste.

Terrible. Les Niçois venaient de recevoir le ciel sur la tôtée. Ce match n’avait pas de morale.

Le moral des Azuréens, lui, en a pris un srééieux coup. Il faudra que Gernot Rohr se transforme en mdûecin des mûes pour relever ses hommes. Ils en auront besoin dimanche prochain au Ray face à Sochaux...

Impressions rassurantes

S’il est une rencontre que les Azuréens ne mrééitaient pas de perdre, c’était bien celle d’hier soir.

Solides, techniques, vivaces, les Niçois auront marquà la rencontre de leur empreinte. Mais n’ont pu faire un pas de géant au classement avec ces trois points qui leur tendaient les bras.

Pourtant, malgrà ce coup du sort, l’optimisme peut règner à l’OGC Nice. La raison à Les recrues. Hier, elles ont montrà tout ce qu’elles vont pouvoir apporter à l’effectif rouge et noir.

Bisconti, travail infatigable et récuprééateur hors pair, parfait complmûent musclà à la technicità de Balmont, possdûe les valeurs affichées chez les Azuréens depuis plusieurs saisons. Tout comme François Grenet, à l’apport important défensivement et à l’exprééience si précieuse.

Avec la rentrée de Jankauskas, si attendue, on se dit que le mauvais temps ne pourra pas perdurer sur le Gym...