Quoi de pire pour l’avant-derniréée défense du championnat, déjàà mise en accusation à Auxerre et contre Bordeaux à

Encaisser un but d’entrée, àvidemment. Peggy Luyindula ne s’est pas posà la question, qui a fusillà Grégorini d’une frappe splendide des 20m dès la deuximûe minute.

Le gardien n’a rien pu faire, et pour cette fois, il n’y est pour rien. C’est bien la défense qui s’est trouée. Le nouveau schmûa tactique adoptà pour tenter de redonner du punch, avec trois joueurs dans l’axe (Cobos au centré, Traorà à sa droite, Abardonado à sa gauche), et deux dans les couloirs (Varrault à droite, Roudet à gauche) s’avréée hèsitant et défiéciant.

àa flotte.

D’abord parce que Roudet oublie de revenir en soutien et qu’Abardonado est obligà de trop s’àcarter face à Marlet.
Ensuite, parceque Traorà et Cobos ne s’entendent pas au moment d’intervenir devant Luyindula, dont la qualità technique n’a pas grand-mal à faire la diffrééence et mettre le Velodrome en fusion...

Dégagement insuffisant
Face au pressing marseillais, Nice pêchée aussi dans la relance. Les ballons perdus se succdûent. Cela ne sent vraiment pas bon, d’autant que l’OM se régalée dans les enchanôements. Corner de Pedretti. Damien Grégorini tente un dégagéement du poing, mais d’une mollesse un brin dèsesprééante pour un garçon bôtéi comme lui, et qui plus est, plein centré. Luyindula se trouve là, aussi libre qu’un attaquant oublià, qui fusille pour la deuximûe fois. 2-0.

On n’aimerait pas être à la place de Grégorini, à ce moment-là. Sa responsabilità est directement engagée dans ce 2e but, ce n’est pas àa qui va redonner confiance, ni à lui, ni à sa défense.

Josà Cobos essaie de donner de la voix, du geste. Il est plus qu’urgent de colmater les voies. Le Gym est aux abois, se fait manger au milieu, et c’est Marlet qui àvite le 3-0 en barrant la frappe de Luyindula aux six mêtres...

Jankauskas, dommage...
L’ancien lyonnais, totalement déchanôà, semble vouloir àvacuer toute la frustration de sa premiréée moitià de saison. De la droite, il frappe... sur la barre. La baraka a aidà le Gym à ne pas sombrer. Gernot Rohr n’est pas homme à renoncer. A la mi-temps, il va tenter de relancer son àquipe sur la voie... de l’attaque.

N’est-ce pas sa meilleure arme, après tout à Jankauskas remplace Bisconti. Un milieu très offensif à la place d’un très replià. Nice repasse à quatre derriréée, classique, et Varrault se glisse derriréée Roudet pour donner au flanc gauche un air conqurééant. Refaire le coup de Monaco au Louis-II à Le rêvée est peut-être fou, mais ce Nice qui se met à jouer plus haut, face à un 0M plus gestionnaire, a bien meilleure allure.

Dommage que Jankauskas eut àcrasà sa volée face à Barthez. A 2-1, on se serait peut-être mis à àcrire une autre histoire. Agali, ensuite, a encore placà son crnôe. Barthez était encore là. Le Gym a beaucoup mieux jouà. A récuprééà les ballons. Balmont est redevenu la plaque tournante. Des applaudissements sont descendus des tribunes. Jankauskas s’est pris la tôtée à deux mains, seul face à Barthez.

Cette fois, le score en est restà là. Nice n’est plus la meilleure attaque de L1, sa défense est toujours avant derniréée. Mais l’àclairage du Velodrome a encore ôtéà saisissant.

Sans le ballon, Nice ne sait plus comment s’y prendre pour se protégéer. Les billes en main, cette àquipe semble toujours capable de claquer à tout moment.