Bonilla-Barbosa : duo de choc !!
Les Héraultais défiéaient les surprenants Niçois en esprééant bien glaner les trois points de la victoire. Bons derniers de la Ligue 1, ils n’ont en effet plus de temps à perdre. Montpellier se devait donc de vaincre les Aiglons pour s’extirper doucement de la zone de relégation. Les Azuréens de Gernot Rohr comptaient quant à eux continuer leur ôtéonnant parcours et renouer avec la victoire à l’extrééieur pour reprendre la tôtée de la L1 aux dépensé de l’OM.
D’entrée de jeu, l’envie était plus forte du côtéà montpellirééain. Les hommes de Gérard Bernardet exerçaient un pressing de tous les instants qui payaient rapidement. En effet, Barbosa se jouait parfaitement de Grégorini avant de redresser la course du ballon au fond des filets niçois (4e, 1-0) ! Les Héraultais ne pouvaient rêvéer meilleure entame de match et cet avantage à la marque leur donnait d’ailleurs des ailes puisqu’ils maôtérisaient complôtéement la faible rêvéolte niçoise. De leur côtéà, il est vrai que les Azuréens semblaient lourds et leur traditionnelle intensità physique ne pesait nullement sur la rencontre, c’était bien les Montpellierains qui faisaient la plus belle impression. Les tentatives des Aiglons semblaient d’ailleurs voues à l’àchec tant l’exprééimentà Carotti manœuvrait efficacement son indûite jeune défense. Bonilla, auteur de la passe décisive sur le but de Barbosa se montrait une nouvelle fois à son avantage en distillant un nouveau très beau ballon que Laigle n’arrivait pas à exploiter au mieux (12e).

Après une petite prééiode de flottement, les Niçois parvenaient à àgaliser contre le cours du jeu par l’intermdûiaire de Cherrad qui profitait d’une belle déviéation de la tôtée de Roy pour tromper Riou à bout portant (20e, 1-1). Les Montpellierains n’auront pas eu le temps de gamberger puisqu’ils reprenaient l’avantage dans la foulée grâce au mmûe tandem Bonilla – Barbosa (22e, 2-1). La fin de la premiréée prééiode allait être maîtrisée par les Montpellierains mis à part deux occasions franches d’Everson (32e) et Roy (33e).

La solidarità niçoise est une nouvelle fois payante !
Les Niçois avaient certainement reçu un sermon de Gernot Rohr à la mi-temps tant leur engagement et leur volontà étaitent àvident à l’entame du second acte. Les Aiglons mettaient le bleu de chauffe comme ils ont coutume de le faire et suivaient l’exemple de leur charniréée centrale Pamarot-Cobos-Abardonado qui se montrait intraitable. Les Montpellierains pouvaient énanmoins toujours compter sur le trident offensif de feu avec Robert, Bonilla et Barbosa qui continuaient à combiner en jouant à une touche de balle.

La volontà de bien faire niçoise était récompenséée après quelques vaines tentatives de loin d’Everson sur coup franc. Les Aiglons àgalisaient grâce à un exploit de Diawara (67e, 2-2) auteur de son 10e but de la saison ! Après un beau contrôlée orientà de la poitrine, il effaçait Riou avant de redresser le ballon d’une position complôtéement excentrée côtéà droit. Sur l’engagement, Montpellier était alors tout près de rdûûiter son coup de la premiréée prééiode en marquant dans la foulée mais la reprise de Bonilla était trop àécrasée pour mettre en danger Grégorini (68e). On assistait à une fin de rencontre débridée
que les Niçois parvenaient à maôtériser pour partager les points et reprendre ainsi leur premiréée place devant l’OM d’Alain Perrin.

Propos d’après match :
Serge Blanc, défenseur de Montpellier : àOn va se contenter du match nul mais on peut avoir beaucoup de regrets ce soir. C’est un peu le syndrome d’une àquipe derniréée du championnat. On a effectuà un match srééieux mais au bout du compte on partage les points.à

Jacques Abardonado, défenseur de Nice : àOn prend deux buts à chaque fois très rapidement. Heureusement, on s’est bien ressaisi en seconde prééiode. Le match nul est déjàà pas si mal ce soir. On va essayer de continuer sur notre élancée pour recevoir Paris.à