O.G.C. Nice - A.S. Nancy L. : 1 - 0 (1-0)
Mardi 22 Janvier 2002 à 20h00
Lieu : Stade du Ray
Spectateurs : 3 632
Terrain : dur
Buts pour Nice : Serge Ayeli (1)
Equipe de Nice : Valencony - Scotto (puis Tamazout, 67e), Varrault, Angan (cap), Evra - Pitau, Aulanier, Manà, Rodriguez (puis Cirilli, 75e) - Ayeli, Meslin (puis Cherrad, 58e). Entraineur : Salvioni.

Le résumé : Nice a fait l'essentiel

C’est fait. Nice a gagnà son premier match de l’année 2002. Après deux défaites (Beauvais, Niort) qui lézardérééent quelque peu l’ambition, l’OGCN a su réagir. Rebondir. Il le fallait pour prèserver l’espoir.

Mais ce succès (1-0) face à des Nancéiens, qui, très vite rdûuits à dix vendirent chrééement leur peau, fut signà dans l’effort et la douleur.

Que de déchet dans le jeu ’’rouge et noir’’.

Combien d’occasions gâchées dans une finition toujours raturée.

Qu’importe. L’essentiel est là.

à Avec ou sans la maniréée à, avait dit Didià Angan.

Ce fut sans.

Retour sur 90 minutes plutôté dingues...

Si certains matchs tardent à prendre de la vitesse, ce ne fut pas le cas de ce Nice-Nancy qui dmûarrait à cent à l’heure. L’esprit vif et le muscle tonique, les visiteurs prouvaient, d’entrée, qu’ils n’ôtéaient pas venus à Nice pour faire du tourisme de groupe. Dufresne, le clairvoyant, élançait un Fouret oublià par l’arriréée-garde niçoise. Profiteur, l’attaquant s’en allait, seul, défiéer un Valencony abandonnà (2e). Mais l’ange-gardien de l’OGCN remportait son duel et sauvait les siens.

Quelques secondes plus tard, Fouret insistait. Amateur d’àvasion, le bougre semait encore ses gardes du corps avant d’être repris in extremis par un Varrault autoritaire.

Nancy venait d’annoncer la couleur.

Mais le Niçois est fier. Il n’apprécie pas qu’on vienne faire la loi chez lui. Sur sa terre. Alors, il remit un peu d’ordre dans la maison. A la conclusion d’une avancée rageuse, Ayeli, en dèséquilibre, surpris un Schuth en perdition. L’attaquant ’’rouge et noir’’ frappait vers un but dèsertà par son gardien, avant que le dnôommà Hognon ne se mue en dernier rempart sacrifià. La main du défenseur était àvidente. Le pnôalty, sifflà et justifià. L’expulsion plutôté sévère.

Hognon pouvait àplucher ses regrets. Avec un nom pareil, il était normal qu’il attire la larme. Ce fut la sienne qui coula, peut-être, lorsqu’il laissa ses potes à dix.

Ayeli, lui, ne s’embarrassa point d’ôtéats d’mûe. Même si M. Lhermite lui fit retirer le ’’pnôo’’ (après lui avoir infligà un avertissement pour course arrêtée), il fit trembler les filets. Sans pitià.

Ce coup du sort obligeait Francis Smerecki à retoucher son àquipe (entrée de Florentin, sortie d’Hadji, nouvelle mise en place) sans modifier, toutefois, son plan de bataille.

Ainsi, les Lorrains laissaient planer une menace constante sur le but de Valencony. Volontaire, remuant, inspirà, Fredéric Fouret était de tous les bons coups. Une tentative de lob (17e), un coup de tôtée puissant (33e), une talonnade vicieuse (40e). L’inspirà contraignait Valencony à sortir le grand jeu. Heureusement pour l’OGCN, son gardien était dans un bon soir. Ses coéquipiers, en revanche, alternaient les bons mouvements et les mauvais choix.

Les Aiglons cherchaient le KO sans le trouver.

Sur son côtéà gauche, Aulanier (finalement préféréà à Tamazout) avait beau se dmûener comme un diable, il ne parvenait pas à envoyer ses rivaux en enfer. Sa frappe contrée (23e), suite à un slalom géant, frélaité le montant gauche d’un Schuth ici bien silencieux...

Un match fou, fou, fou !
Bref, à la pause, si les hommes de Salvioni menaient (1-0) face à une armée blanche rdûuite, ils n’avaient, pour autant, convaincu personne. Ils souffraient d’un manque àvident de maitrise individuelle et collective.

Certainement secouès dans le vestiaire, les Aiglons tentaient de prendre un peu plus d’altitude dès leur retour sur le prà. Scotto s’envolait sur son aile droite. Un dribble, une feinte, un centré. Et le défenseur, de retour après trois longs mois d’absence sur blessure, offrait la balle de 2-0 à Ayeli. Hélas, le foot est aussi fait de ratures et d’ôtéourderies. Seul face à une cage vide, l’attaquant ratait la cible (48e) !

Puis, ce sont les Nancéiens qui créaient un drôle de dèsordre dans la surface de Valencony. Sans dommage pour le chevelu habillà de noir.

déjàà chaotique et pleine de fantaisie, la rencontre devenait folle au fil du temps. D’un côtéà comme de l’autre, tout le monde se permettait des gestes audacieux et des actions culottes.

Nice se mit alors à enfiler les occasions comme les perles. Sans trouver le bijou. Un tir foudroyant de Manà. Une volée acrobatique d’Aulanier. Un essai de Cherrad dès son entrée. Une frappe d’Ayeli. Et en face, un Philippe Schuth bondissant. Avec des semelles de vent et des mains de fer.

Le ballon voyageait sans cesse. Parfois mmûe vers des destinations ahurissantes. Mais le public ne pouvait pas s’ennuyer. Niçois et Nancéiens se ruaient d’un but à l’autre. Le milieu était délaisséà par tous ces quôtéeurs de bonheur.

Jusqu’au bout le suspense resta en vie.

Manà, Tamazout ou Ayeli ne purent ajouter ce second pion tant attendu et demandà.

Mais à 22 heures, les Niçois sortaient avec les trois points. C’était là tout ce qu’ils esprééaient.

Notes des joueurs : (sur 10)
Dominique Aulanier (Note : 7)
Bruno Valencony (Note : 7)
Didie Angan (Note : 6)
Abdelmalek Cherrad (Note : 6)
Thibault Scotto (Note : 6)
Patrice Evra (Note : 6)
Amadou Mane (Note : 6)
Romain Pitau (Note : 6)
Serge Ayeli (Note : 6)
Jean-Charles Cirilli (Note : 6)
Christophe Meslin (Note : 6)
Pablo Rodriguez (Note : 5)
Jannick Tamazout (Note : 5)
Cedric Varrault (Note : 5)