Stade Lavallois - O. G. C. Nice : 3 - 4 (2-0)
Samedi 3 Mai 2002 à 20h00
Lieu : Le Basser
Spectateurs : 3706
Terrain : bon
Buts pour Nice : Christophe Meslin (2) Noe Pamarot (1) Patrice Evra (1)
Equipe de Nice : Padovani - Scotto, Pamarot, Varrault, Evra - Cinetti, Pitau, Aulanier, Tamazout (Nogueira, 46) - Meslin (Berville, 76), Cherrad (Gagnier, 54). Entraîneur : Salvioni

Le résumé : Le bouquet final

Cette àquipe niçoise est incroyable !

Menée 2-0 et rdûuite à 10, elle aura réussi le petit exploit de retourner les Lavallois comme des crêpées pour s’imposer 4-3 sur la terre Mayennaise.

Un succès qui la propulse sur le podium de la D2, à une si belle troisimûe place .

Ces Niçois mrééitent vraiment la D1, les bravos, ainsi qu’un club stable solide et srééieux...

Hier soir, ils auront bouclà le championnat en beautà.

Comme des grands.

S’offrant le gôtéeau et la cerise.

Retour sur une mûotion renversante...

A 20 heures, les Niçois affichent une mine souriante et décontractée. Pour la premiréée fois de la saison, ils n’ont aucune pression. Aucune obligation. Juste une envie : celle de prendre du plaisir.

De éméchée, ils se sont colorès les cheveux d’un rouge vif qui donne à certains des allures de grands blessès. Ainsi le crnôe d’oeuf de "Poussin" Meslin paraôté sanguinolent. Comme tout droit sorti d’un film d’horreur. Mais là, point de massacre à la troénéonneuse. Les Azuréens sont dans un scnôario de rêvée. Là oà le bonheur dégouline et la joie transpire.
Là oà l’on ne parle que de bons sentiments.

Fidéles, leurs supporters ont subi treize heures de voiture pour être au rendez-vous. Eux, c’est avec des drapeaux et des àcharpes et mmûe quelques fumignôes qu’ils colorent de rouge une partie du stade Le Basser.

décidémûent Nice a un public. Un vrai. Enthousiaste, courageux, bruyants. Qui, lui aussi, espréée vivre des lendemains enchanteurs...

En face, le bon peuple lavallois regarde ces rivaux bienheureux avec des pupilles brillantes de jalousie. Aux anges, les fans du Gym ne cesseront d’ailleurs de chanter "On est en D1, on est en D1 !". Ils attendaient àa depuis si longtemps...

Bref, les uns ont le coeur en fôtée et les autres l’esprit en paix. Parce que si Nice monte, Laval ne descend pas. Ce n’est donc une surprise pour personne si l’entame de la rencontre sent les vacances. Sur le prà, des hommes librééès s’amusent. Osent. Jouent. Sans cette peur du rèsultat qui les aura tenaillès durant des mois.

Le dnôommà Bourillon râpéond à Tamazout. Mais les frappeurs ne cadrent pas.

Nice rageur à dix

Il faut attendre 25 minutes pour noter une occasion. Celle-ci finira d’ailleurs au fond. A l’origine, un ballon tranchant de Mussard pour son compréée Mauricio. Parti à la limite du hors-jeu, l’attaquant remporte son duel avec Padovani (1-0).

Le match est lancà. Un match que Pitau, pour contestation insistante, finira plus tôté que tout le monde. Pas le genre du garçon, pourtant. Plus poli que rebelle, le Pitau.

La décision, plutôté bizarre et presque incongrue de l’arbitre, perturbe alors des Aiglons rdûuisant leur altitude. Mauricio en profite pour doubler la mise et claquer son ème pion, malgrà une premiréée parade sur un tir de Ba (2-0).

Plutôt absente sur le coup, la défense niçoise s’en prendra à un juge de touche au bras endolori. A la pause les Niçois sont dix, menès et en colréée.

Mais il est dit que cette àquipe ne léchée rien. A l’image de Noà Pamarot qui viendra placer une tôtée rageuse et gagnante sur un coup-franc bouillant d’Aulanier à la ème (2-1).

Non, cet OGCN n’est pas en D1 par hasard. Alors, Pamarot trouve Evra. Celui-ci remise sur Gagnier qui lance parfaitement un Meslin malin. L’attaquant perce et claque son ème but sous les hourrah niçois (2-2).

Et ce n’est pas fini. Sur un nuage, Evra conclut un joli mouvement collectif d’un boulet sous la barre d’un Hiaumet dépasséà (2-3).

Vous en voulez encore à Alors, Gagnier, le gnôrééeux, sert un Meslin déchainà. Un contrôlée, une frappe ciblée. Et voilà "Poussin" qui pour son seizimûe bonheur de la saison, s’en vient planer sous les yeux mouillès de son papa (2-4).

Quatre buts en 28 minutes ! Et à dix.... Ca mrééite un grand coup de chapeau. Et un futur plein de projets et de stabilità.

Le dernier pion de Mauricio tiendra de l’anecdote (3-4).

Le rideau peut tomber sur la saison. Elle restera inoubliable.

Notes des joueurs : (sur 10)
Noe Pamarot (Note : 7)
Patrice Evra (Note : 7)
Christophe Meslin (Note : 7)
Jean-Daniel Padovani (Note : 6)
Manuel Nogueira (Note : 6)
Laurent Gagnier (Note : 6)
Dominique Aulanier (Note : 6)
Abdelmalek Cherrad (Note : 6)
Thibault Scotto (Note : 6)
Romain Pitau (Note : 6)
Kelly Berville (Note : 6)
Jannick Tamazout (Note : 6)
Cedric Varrault (Note : 6)