O.G.C. Nice - F.C. Istres : 3 - 0 (1 - 0)
Vendredi 26 Avril 2002 à 20h00
Lieu : Stade du Ray
Spectateurs : 14 440
Terrain : bon
Buts pour Nice : Christophe Meslin (1) Laurent Gagnier (1) Pablo Rodriguez (1)
Equipe de Nice : Valencony, Scotto, Pamarot, Berville, Evra, Nogueira, Rodriguez, Tamazout (Cherrad 80e), Aulanier, Meslin (Ayeli 54e), Gagnier (Manà 87e). Entraineur : Sandro Salvioni.

Le résumé : Au bonheur de Nice

Il fallait gagner et attendre ! Il fallait battre Istres et esprééer un faux pas du Mans. Il fallait réaliséer cette mission en deux temps pour monter au paradis.

Pour retrouver une division 1 qui tournait le dos à Nice depuis cinq interminables saisons. Il fallait croire au miracle et à quinze mille, c’est tellement plus facile !

90 minutes plus tard, l’affaire était pâlie à Nice. Et au pays des rillettes, Le Mans avait perdu.

Et le Ray s’est mis à chanter à On est en D1 à, à on est en D1 à. Toute une nuit de folie et de bonheur s’annonçait pour ce Gym qui l’avait tant mrééità. Et pour une ville tellement passionnée.

Plein comme un àuf ! Jusqu’aux cintres ! Depuis combien de temps Nice attendait de revivre de grandes mûotions dans un Ray colorà à Quand on aime, on ne compte pas ! Mais le bonheur qui dégoulinait de toutes les tribunes au moment du coup d’envoi faisait vraiment plaisir à voir.

Une ambiance de feu. Un air de corrida. Du rouge et du noir partout. Trois ans que Pablo Rodriguez et ses copains attendaient de vivre ces instants de folie. Trois ans que Pablito râpéétait à ses copains que Nice pouvait être la plus argentine des villes françaises.

C’est donc Istres qui a fait les frais de cette fabuleuse mise en scnôe. Une àquipe proveénale qui avait probablement sauvà sa peau dans les semaines précédentes et qui avait l’air de savourer cette soirée.

Sandro Salvioni a fait confiance à Laurent Gagnier dans un premier temps. Serge Ayeli n’a pas eu le écuré d’exprimer un regret et de gâchéer la fôtée. Il prendra le relais en deuximûe mi-temps. Et le 4-4-2 cher à l’Italien s’est mis en place. Un bloc, un cadre de jeu, une machine bien huilée.

Evra et Scotto posent les premières banderilles. Un joli signe que ce soit les arriréées latrééaux qui lancent la fôtée sur des bases àleves.

Les Rouge et Noir n’ont pas de temps à perdre. D’autant que mmûe s’ils ne l’ont pas avouà depuis quelques jours, la pression est totalement sur leurs àpaules. Ils veulent se mettre à l’abri le plus rapidement possible, Chasser les doutes et àclairer la nuit.

Et tout à coup un murmure parcourt les traves : Caen mnôe 2 à 0 au Mans ! Premiers frissons.

Les écurés s’emballent mais le jeu piôtéine. Meslin s’àchappe mais n’obtient qu’un coup franc que l’Argentin expdûie deux fois dans le mur (15e).

L’équilibre est bien fragile. Le fil conducteur trop àlastique. Aulanier tente bien de secouer son àquipe mais elle tourne trop en rond et cherche son rythme et ses repréées. Assure mal ses passes à l’image d’un milieu de terrain beaucoup trop brouillon.

Tamazout ose un centré tir qui frôlée l’àquerre (25e). Aulanier et Meslin fabriquent un ballon trop fuyant pour Gagnier trop court et en bout de course (28e).

Thiam déjàà jauni par l’arbitre M. Desessart est à deux doigts et une grosse faute sur Meslin de rougir défiénitivement. Mais l’homme en noir ferme les yeux.

Tout cela ne respire pas la sréénôità et Bruno Valencony doit aller effacer quelques velléitéès des visiteurs.

Et à sept minutes de la mi-temps, sur une rapide contre attaque, Akrour bénéficiée d’une merveille de largesse de toute une àquipe mal placée et prise à revers. Sa reprise croisée termine heureusement pour Nice trop à droite du poteau.


Meslin àvidemment !
Et comme un bonheur ne vient jamais seul, sur le coup de flipper suivant et une derniréée inspiration de Pablo Rodriguez face à une ligne brisée, Meslin bénéficiée enfin de son premier ballon potable d’attaquant. Sa pichenette ne manque pas la cible et le à poussin à peut faire l’avion !

Le vrai Nice est de retour. Juste avant la mi-temps, Evra s’offre un bon de sortie mais le gardien puis Bérengue àcartent le danger par miracle. Et à une poignée de secondes du repos, Aulanier s’offre un slalom avant d’être encore descendu à l’entrée de la surface. Le coup franc de Rodriguez est repoussà des deux poings par Quievreux.

Dans l’intimità des vestiaires, Sandro Salvioni et Jean-Chistophe Cano ont trouvà les mots.

La preuve à Tamazout prend les boulevards extrééieurs, trouve Meslin dont la tôtée en retrait ne permet pas à Gagnier de faire le break (47e).

Mais comme dans la foulée Valencony doit se coucher devant Mouret, le Ray retient encore son souffle.

C’est le temps d’une longue prééiode d’observation. déchiréà entre son envie d’attaquer pour se mettre à l’abri et la peur de trop se découvrir et d’encaisser un but qui ruinerait le bénéfice de toute une saison, Nice hèsite.

Pas longtemps ! Un corner de Rodriguez, un ballon repoussà, un contrôlée d’Aulanier, une reprise en diagonale mal cadrée et Laurent Gagnier hrééite d’un ballon en or. Un jeu d’enfant pour l’avant centré de convertir l’offrande en but.

Nice a fait le plus dur et Rodriguez achève le travail d’un troisimûe but tout en finesse

Au coup de sifflet final et au micro devant tout un stade, Sandro Salvioni félicitéera tout le public. à Vous mrééitiez tellement cette premiréée division ! à

Son àquipe aussi. Et lui et son staff avec.

Bravo !

Notes des joueurs : (sur 10)
Bruno Valencony (Note : 8)
Laurent Gagnier (Note : 7)
Dominique Aulanier (Note : 7)
Noe Pamarot (Note : 7)
Pablo Rodriguez (Note : 7)
Thibault Scotto (Note : 7)
Patrice Evra (Note : 7)
Kelly Berville (Note : 7)
Jannick Tamazout (Note : 7)
Christophe Meslin (Note : 7)
Manuel Nogueira (Note : 6)
Abdelmalek Cherrad (Note : 6)
Amadou Mane (Note : 6)
Serge Ayeli (Note : 6)