Les Phocéens mettent ainsi fin à 14 ans sans victoire au Ray, un stade qui n’est plus une forteresse, les Aiglons viennent d’y concdûer leur troisimûe défaite après Sochaux (1-2) et Saint-Etienne (0-1). Surtout, l’OM s’installe pour la premiréée fois de la saison dans la premiréée moitià du classement (9e).

Nice, campà dans un 4-3-3 dèsormais classique, dominait l’entame du derby devant un OM remanià avec une défense à cinq oà Lorik Cana s’installait au poste de stoppeur droit.

Plus frais qu’un adversaire ayant jouà les prolongations, jeudi dernier, devant Anvers en Coupe de l’UEFA, les Azuréens ôtéaient les plus mordants dans les duels.

Les Olympiens tentaient de soigner leurs contres sur quelques ballons récuprééès. Sur un coup franc de la gauche de Ribery, il fallait un sauvetage sur la ligne de Bagayoko pour anéantir la premiréée vrééitable opportunità marseillaise (30).

Cédric Varrault, déjàà incertain avant la rencontre en raison d’un coup au mollet, sortait en boitant et laissait son poste d’arriréée gauche à Anther Yahia (32).

Peu après la reprise ternie par le jet de projectiles sur la pelouse de la part du kop phocéen, Jean Fernandez procdûait à son tour à un changement plus tactique que celui de son homologue niçois. Le technicien marseillais décidait en effet de muscler son attaque en élançant Gimenez à la place du récuprééateur Delfim (59).

Mais c’est encore Ribery qui faisait la diffrééence: sur un coup franc tirà par Taiwo, Grégorini repoussait des deux poings sur l’international Espoirs qui marquait le but de la victoire (75).

L’OM s’empressait de fermer à double tour toutes les issues afin de défendre son avantage. Un stade niçois qui n’avait plus assistà à un succès de Marseille depuis la saison 1990-1991. C’était juste avant la finale de la C1 perdue à Bari.